Retrouvez l'actualité sur Zimbabwe avec Tendance Ouest | Page 5
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousC'est un des effets fortuits de la crise qui a fait chuter le président du Zimbabwe Robert Mugabe, mais un des plus appréciés de ses habitants: depuis dix jours, la police a disparu des rues de Harare, et avec elle les barrages où les automobilistes étaient rançonnés.
L'ancien vice-président zimbabwéen en exil Emmerson Mnangagwa, pressenti pour remplacer le président Robert Mugabe qui a démissionné mardi après 37 ans au pouvoir, doit rentrer mercredi au pays, a indiqué à l'AFP son assistant personnel.
Le Parlement du Zimbabwe a ouvert mardi après-midi sa séance consacrée à l'examen d'une demande de destitution du président Robert Mugabe, qui règne d'une poigne de fer sur le pays depuis trente-sept ans, a constaté un journaliste de l'AFP.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousL'ancien vice-président du Zimbabwe Emmerson Mnangagwa a joint mardi sa voix à tous ceux qui exigent le départ immédiat de l'obstiné président Robert Mugabe, contre lequel le Parlement doit engager dans la journée une procédure de destitution.
Depuis trente-sept ans qu'il dirige le Zimbabwe, Robert Mugabe semblait insubmersible. Son règne s'est lézardé en quelques jours et paraissait lundi, malgré sa résistance, proche de la fin, après une succession de convulsions inédites dans l'histoire du pays.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a "accepté de démissionner" après trente-sept au pouvoir et une semaine de crise marquée par un coup de force militaire et le désaveu de tous ses soutiens, a-t-on appris dimanche dans son entourage.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe parti au pouvoir au Zimbabwe, la Zanu-PF, a annoncé dimanche qu'il enclencherait au Parlement la procédure de destitution du président Robert Mugabe si le plus vieux dirigeant en exercice au monde, 93 ans, ne démissionnait pas avant lundi.
Le règne du président du Zimbabwe Robert Mugabe ne semblait plus dimanche tenir qu'à un fil après les manifestations de la veille exigeant son départ et la perte de ses derniers soutiens au sein de son parti, qui s'apprêtait à l'écarter de sa direction.
Dans le centre ville d'Harare, des manifestants astiquent avec un drapeau zimbabwéen les rangers déjà rutilantes d'un soldat en treillis. "On est tellement heureux que l'armée soit de notre côté. Ils doivent finir le travail et s'assurer que Robert Mugabe parte", explique un manifestant, Baliwe Sibanda.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDes milliers de Zimbabwéens sont descendus samedi dans les rues d'Harare pour demander le départ du président Robert Mugabe, progressivement lâché par ses plus fidèles alliés, une mobilisation appuyée par l'armée qui a pris cette semaine le contrôle du pays.
Donald Trump a gelé vendredi soir l'autorisation d'importer des trophées d'éléphants tués au Zimbabwe et en Zambie, vingt-quatre heures seulement après l'annonce très controversée par son administration de réinstaurer ces permis.
Il est surnommé le "crocodile" pour son caractère impitoyable. Longtemps en tête de la course à la succession du président du Zimbabwe Robert Mugabe avant d'en être sèchement écarté, Emmerson Mnangagwa n'a jamais renoncé à lui succéder.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousL'ancien vice-président du Zimbabwe Emmerson Mnangagwa, dont l'éviction a provoqué le coup de force de l'armée, est rentré au pays, où les discussions continuent sur l'avenir d'un président Robert Mugabe déterminé à s'accrocher au pouvoir.
L'ancien vice-président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa, dont l'éviction a provoqué mercredi le coup de force de l'armée contre le régime du président Robert Mugabe, est rentré jeudi au Zimbabwe, a-t-on appris vendredi dans son entourage.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous