Retrouvez l'actualité sur violences conjugales avec Tendance Ouest | Page 2
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Contactez-nousUn homme de 50 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire, samedi 25 avril 2020 dans la soirée pour tentative de meurtre. Jeudi, il a porté plusieurs coups de couteau à son ex-femme à Alençon (Orne).
Dimanche 19 avril, un homme d'une trentaine d'années a été mis en examen pour tentative de meurtre sur conjoint et placé en détention provisoire. Il est soupçonné d'avoir grièvement blessé sa compagne à coups de couteau.
Durant le confinement et pour lutter contre les violences conjugales, un dispositif d'alerte et d'accompagnement est mis en place sur le territoire du Havre. Les victimes vont pouvoir trouver refuge dans les centres commerciaux.
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Contactez-nousLe tribunal correctionnel de Rouen (Seine-Maritime) a jugé, lundi 23 décembre 2019, un prévenu accusé de menace de mort et de violences conjugales en récidive.
Le nombre de féminicides en France cette année a dépassé celui enregistré l'an dernier par le gouvernement avec 122 cas confirmés, selon un décompte de l'AFP, après le meurtre d'une femme à Saint-Laurent-du Maroni (Guyane).
Une femme a été tuée par son conjoint samedi à Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane), le 122e féminicide en France depuis janvier 2019 selon un décompte réalisé par l'AFP, dépassant les 121 cas recensés pour l'année 2018 par le gouvernement.
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Contactez-nousLundi 25 novembre 2019, le gouvernement a présenté son plan contre les violences conjugales en espérant un "électrochoc". Les associations sont restées un peu sur leur faim. Des rassemblements étaient organisés dans toutes les grandes villes de France. Au Havre (Seine-Maritime), une centaine de personnes s'est rassemblée sur l'esplanade Coty.
Un rassemblement s'est tenu, lundi 25 novembre 2019, sur le parvis de la gare de Rouen (Seine-Maritime), pour dénoncer la hausse des violences faites aux femmes. Les participants ont ensuite défilé dans les rues.
Lundi était la 4e journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, une cause qui a jeté dans la rue des dizaines de milliers de manifestants depuis samedi, notamment en France, en Italie, en Belgique et en Espagne, et encore lundi en Russie et en Turquie.
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Contactez-nousInscription dans la loi de l'"emprise" psychologique, réforme de l'autorité parentale du père violent, suppression de certaines "absurdités": le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé lundi un plan de lutte contre les violences conjugales à forte tonalité juridique.
Prise en charge psychologique des agresseurs, saisie de leurs armes, renforcement du numéro 3919: le gouvernement clôt lundi son "Grenelle contre les violences conjugales" avec des annonces attendues de pied ferme par les associations féministes, confortées par le succès des manifestations de samedi.
"Lorsqu'une victime est en danger, mon devoir, ce n'est pas seulement de la soigner!", plaide le chirurgien Jacques Saboye, résumant le dilemme de nombreux professionnels de santé, entre respect du secret et sentiment de "non assistance à personne en danger" face aux violences conjugales.
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Contactez-nous"Ils n'ont rien fait", "ils n'ont pas voulu prendre ma plainte", "on a été mal reçu"... : souvent critiquées dans les affaires de violences conjugales, les forces de l'ordre pèchent par manque de moyens, de formation et d'information.
Des milliers de personnes, femmes et hommes, ont commencé à défiler samedi à Paris pour dire "stop" aux violences sexistes et sexuelles et aux féminicides, à deux jours de la fin du "Grenelle" contre ce fléau, ont constaté des journalistes de l'AFP.
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