Retrouvez l'actualité sur vente privée de vêtements avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUne agression "d'une sauvagerie inadmissible" ou des "violences réciproques": la cour d'assises de Paris fixe vendredi le sort de trois ex-skinheads jugés pour des violences et les coups mortels infligés à l'antifasciste Clément Méric en 2013, en plein coeur de la capitale.
L'accusation a requis jeudi des peines de 7 et 12 ans de prison à l'encontre de deux ex-skinheads jugés pour des coups mortels portés à l'antifasciste Clément Méric en 2013 à Paris, une bagarre "évitable" et d'une "sauvagerie parfaitement inadmissible".
Clément Méric est tombé "KO, comme un boxeur" : c'est la seule certitude que partagent les témoins. Cinq ans après la rixe mortelle en plein Paris, la cour d'assises cherche une cohérence à des fragments de mémoire.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous"Il avait 18 ans" et de "fortes convictions": Dans les mots de sa mère, Clément Méric, tombé en juin 2013 à Paris sous les coups de skinheads aujourd'hui "désolés", est apparu "espiègle" et vibrant du goût des autres.
Témoin clé au procès de trois skinheads jugés pour la mort de l'antifasciste Clément Méric, Serge Ayoub, figure tutélaire de la jeunesse d'ultra droite, a fait savoir mardi à la cour d'assises qu'il ne serait pas présent.
Le procès de trois skinheads impliqués dans la mort de Clément Méric, étudiant devenu le symbole de l'engagement antifasciste tué en 2013 lors d'une bagarre, s'ouvre mardi pour deux semaines devant les assises de Paris.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous