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Contactez-nousLes Algériens sont attendus en masse dans la rue pour un 9e vendredi consécutif, galvanisés par les concessions obtenues depuis le début de leur contestation du pouvoir et bien décidés à en arracher davantage.
Le Parlement algérien se réunit mardi, une semaine après la démission d'Abdelaziz Bouteflika, pour lancer un processus d'intérim incertain et massivement rejeté par la rue, qui dénonce une tentative de maintien du "système" au pouvoir.
Qui assurera l'intérim du président démissionnaire Abdelaziz Bouteflika en Algérie? Le Parlement doit entériner le processus mardi, mais le remplaçant désigné par la Constitution, Abdelkader Bensalah, incarnation d'un "système" dont les Algériens veulent se débarrasser, devrait passer la main.
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Contactez-nousL'éditorial du quotidien gouvernemental El Moudjahid, traditionnel vecteur de messages du pouvoir en Algérie, suggère dimanche d'écarter Abdelkader Bensalah, contesté par la rue, de la présidence par intérim en le remplaçant à la tête de la Chambre haute.
Le processus d'intérim prévu par la Constitution qui se met en place en Algérie après la démission du président Abdelaziz Bouteflika est contesté par les Algériens qui promettent de continuer à défiler en masse pour obtenir la chute totale du "système".
La rue algérienne n'entend pas relâcher la pression sur le pouvoir, après le départ du président Abdelaziz Bouteflika. Quels sont les scénarios possibles de la transition?
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Contactez-nousLe Conseil constitutionnel algérien "fait le constat de la vacance définitive de la présidence de la République", au lendemain de la démission d'Abdelaziz Bouteflika, indique mercredi un bandeau déroulant à la télévision nationale algérienne.
Après plus d'un mois de contestation, les Algériens voient s'ouvrir mercredi une nouvelle ère, aux contours incertains, au lendemain de la démission d'Abdelaziz Bouteflika, président durant deux décennies, avec la volonté apparente des manifestants de venir à bout du "système" tout entier.
Après un mois de contestation exemplaire, les Algériens se réveillent, pour la première fois en 20 ans, sans Abdelaziz Bouteflika à la tête du pays mais, la joie passée, n'entendent pas baisser la garde et veulent désormais obtenir le départ de tout le "système" au pouvoir.
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Contactez-nousLe chef d'état-major de l'armée algérienne a demandé mardi que soit engagée la procédure prévue par l'article 102 de la Constitution, quand le président de la République "pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l'impossibilité totale d'exercer ses fonctions".
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