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Contactez-nousUn mois après les pourparlers inter-yéménites en Suède, les premiers depuis 2016, le chemin s'avère semé d'embûches pour l'ONU qui peine à faire appliquer une série d'accords sur le terrain, ce qui fragilise le processus de paix.
Les rebelles yéménites ont commencé à se retirer samedi du port de Hodeida, une ville clé de l'ouest du pays, a indiqué un responsable de l'ONU, mais les forces pro-gouvernementales ont dit douter de ces informations.
Les rebelles yéménites ont commencé à se retirer samedi du port de Hodeida, une ville clé de l'ouest du pays, en application d'un accord conclu avec le pouvoir début décembre, a indiqué un responsable de l'ONU.
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Contactez-nousLa coalition militaire menée par l'Arabie saoudite a menacé implicitement mercredi de reprendre son offensive au Yémen, dans le cas où la rébellion poursuivrait ses "violations" de la trêve à Hodeida, le principal front actuel du conflit.
La ville de Hodeida, port stratégique de l'ouest du Yémen et principal front du conflit, reste le théâtre de violents combats et raids aériens qui mettent en péril la trêve conclue en Suède sous l'égide de l'ONU entre forces loyalistes et rebelles Houthis.
Quasi inespéré, l'accord inter-yéménite conclu en Suède offre une lumière d'espoir pour une population exsangue. Mais, après des années de guerre, nombre d'habitants n'osent entrevoir le bout du tunnel, face à la fragilité du processus et à la méfiance persistante entre belligérants.
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Contactez-nousLe gouvernement et les rebelles du Yémen, réunis en Suède pour des consultations sous l'égide de l'ONU en vue de renouer un dialogue rompu depuis 2016, ont annoncé mardi avoir établi une liste de 15.000 prisonniers à échanger.
Monter une école dans sa propre maison à Taëz, grande ville du sud-ouest du Yémen, pays aux prises avec la guerre: certains civils refusent de baisser les bras et offrent une lueur d'espoir aux rescapés du conflit.
Des dizaines de jeunes Yéménites se précipitent dans les salles dès que retentit la cloche de l'école Al-Wahda, dans le centre de Sanaa, capitale d'un pays déchiré par la guerre et où des millions d'enfants ne sont plus scolarisés.
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Contactez-nousVingt-trois civils, dont des femmes et des enfants, ont été tués mercredi dans un raid aérien près de Taëz, grande ville du sud-ouest du Yémen, ont indiqué les rebelles Houthis, attribuant l'attaque à la coalition militaire arabe sous commandement saoudien.
Avec la guerre, le nombre d'enfants déscolarisés a plus que doublé au Yémen et ces près de 3,5 millions de jeunes forment une génération perdue pour l'un des pays les plus pauvres au monde.
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