Retrouvez l'actualité sur SoudanSud avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes soldats de l'armée gouvernementale sud-soudanaise ont commis viols, meurtres et pillages pendant et après les récents combats à Juba, a dénoncé jeudi le haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Zeid Ra'ad Al Hussein, appelant le Conseil de sécurité à prendre des mesures "urgentes".
Les armes étaient visibles mais silencieuses mercredi dans la capitale sud-soudanaise Juba, où un cessez-le-feu décrété lundi soir, après quatre jours de combats, était respecté pour la deuxième journée consécutive, selon un correspondant de l'AFP.
Au moins 36.000 personnes ont été déplacées par les combats au Soudan du Sud depuis vendredi, a indiqué mardi l'ONU, après quatre jours d'affrontements meurtriers à Juba entre forces loyalistes et ex-rebelles.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe président sud-soudanais Salva Kiir et son rival, le vice-président Riek Machar, ont répondu lundi à l'appel de la communauté internationale en décrétant un cessez-le-feu après quatre jours de combats meurtriers entre leurs troupes dans la capitale Juba.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a sollicité dimanche l'aide des pays de la région, leur demandant des Casques bleus supplémentaires, pour mettre fin aux combats au Soudan du Sud qui font fuir des milliers d'habitants de la capitale Juba.
Des tirs ont de nouveau été entendus dimanche à Juba, où des soldats gouvernementaux et d'anciens rebelles s'affrontaient à la périphérie de la capitale sud-soudanaise, ont déclaré des habitants et la mission locale de l'ONU.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa capitale du Soudan du Sud, Juba, a été secouée par de violents échanges de tirs à l'arme automatique vendredi après-midi, le président et le vice-président, tous deux au palais présidentiel, appelant au calme et affirmant tout ignorer des événements en cours.
Le chef rebelle sud-soudanais Riek Machar a prêté serment comme vice-président mardi à Juba, dans le cadre de l'accord de paix signé en août 2015 et destiné à mettre fin à plus de deux ans d'une guerre civile dévastatrice, a constaté un journaliste de l'AFP.
Viols, exécutions, destructions systématiques: la situation des droits de l'Homme au Soudan du Sud, qui a sombré dans une guerre civile dévastatrice, est "parmi les plus horribles" dans le monde, s'est indigné vendredi l'ONU dans nouveau un rapport dénonçant notamment les exactions du camp gouvernemental.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa situation des droits de l'Homme au Soudan du Sud est "parmi les plus horribles" dans le monde, s'est indigné vendredi l'ONU, indiquant dans un rapport que des combattants alliés au gouvernement avaient été autorisés "à violer les femmes en guise de salaire".
La situation des droits de l'Homme au Soudan du Sud est "parmi les plus horribles" dans le monde, s'est indigné vendredi l'ONU, indiquant dans un rapport que des combattants alliés au gouvernement avaient été autorisé "à violer les femmes en guise de salaire".
Les horreurs de la guerre civile au Soudan du Sud sont largement répertoriées mais une inconnue majeure subsiste: celle du nombre de personnes tuées depuis le début de ce conflit sanglant, en décembre 2013.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDes hommes armés ont ouvert le feu sur des civils réfugiés dans une base des Nations unies au Soudan du Sud, tuant au moins 18 personnes, selon un bilan de MSF jeudi soir, l'ONU dénonçant ces nouvelles violences dans un pays déchiré depuis plus de deux ans par une guerre civile.
Au moins 18 personnes ont été tuées, dont deux Sud-Soudanais travaillant pour MSF, et une quarantaine blessées dans l'attaque d'un camp de réfugiés de l'ONU à Malakal, au Soudan du Sud, a annoncé jeudi l'organisation humanitaire.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous