Retrouvez l'actualité sur Soudan avec Tendance Ouest | Page 4
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Contactez-nousLes manifestants soudanais, appelés à la "désobéissance civile", tentent de reprendre la rue après la violente évacuation du sit-in devant le siège de l'armée à Khartoum le 3 juin, mais ont fait face dimanche à la répression des forces de l'ordre.
La police a tiré dimanche à Khartoum des gaz lacrymogènes sur des manifestants qui tentaient d'ériger des barrages routiers, au premier jour d'une campagne nationale de "désobéissance civile" lancée par les chefs de la contestation contre les militaires au pouvoir.
Des figures de l'opposition soudanaise ont été arrêtées samedi après leur rencontre avec le Premier ministre éthiopien venu en médiateur entre contestation et militaires à Khartoum, toujours déserte cinq jours après la violente dispersion par les forces de sécurité du sit-in des manifestants.
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Contactez-nousDes tentes au sol, certaines calcinées, des objets abandonnés çà et là: c'est sur cette artère devant le siège de l'armée à Khartoum, occupée pendant deux mois par des milliers de manifestants, que soufflait l'espoir d'une transition démocratique au Soudan, étouffé lundi dans le sang.
Le mouvement de contestation en Algérie se mobilise pour un 16e vendredi consécutif, le premier depuis l'annulation de la présidentielle qu'il rejetait en bloc, mais le pouvoir a réaffirmé sa volonté d'un scrutin à très court terme.
Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed est arrivé vendredi à Khartoum pour tenter une médiation entre la contestation et les militaires au pouvoir contre lesquels la pression internationale s'est accrue après une brutale et sanglante répression des manifestations.
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Contactez-nousDes Soudanais ont raconté jeudi le climat de peur des derniers jours à Khartoum face à la répression sanglante contre le mouvement de contestation, dont le gouvernement a tenté de minimiser l'ampleur.
Le gouvernement soudanais a cherché jeudi à minorer l'ampleur de la répression sanglante des derniers jours contre la contestation, déterminée de son côté à poursuivre la lutte "pacifique" contre le pouvoir militaire malgré la peur liée à l'escalade de la violence.
La répression contre le mouvement de contestation cette semaine au Soudan n'a pas fait "plus de 46 morts", a affirmé jeudi le gouvernement dans un premier bilan, rejetant les chiffres divulguées jusque-là par un comité proche des manifestants.
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Contactez-nousDes coups de feu se font entendre mercredi dans les rues de Khartoum, où la répression de la contestation, sur ordre du Conseil militaire au pouvoir, a fait au moins 60 morts depuis lundi, selon un comité proche des manifestants soudanais.
Soixante personnes sont mortes dans la répression de la contestation soudanaise depuis lundi, date de la dispersion, sur ordre du Conseil militaire, du sit-in devant le QG de l'armée à Khartoum, a annoncé mercredi le comité des médecins.
Le mouvement de contestation au Soudan a appelé à poursuivre la mobilisation mardi, rejetant l'appel à des élections par les militaires au pouvoir, au lendemain de la dispersion sanglante du sit-in des manifestants devant le siège de l'armée, qualifiée de "massacre".
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Contactez-nous"Plus de 35" personnes sont mortes et "des centaines" ont été blessées dans la dispersion lundi, sur ordre du Conseil militaire, du sit-in devant le QG de l'armée à Khartoum, a annoncé mardi le Comité central des médecins soudanais.
Les militaires qui gouvernent le Soudan depuis la chute du président Omar el-Béchir ont annoncé mardi qu'ils annulaient les mesures sur lesquelles ils s'étaient mis d'accord avec les contestataires et qu'ils convoquaient des élections dans un délai de neuf mois.
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