Retrouvez l'actualité sur saddam hussein avec Tendance Ouest | Page 4
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Contactez-nousDes Irakiens ont de nouveau manifesté vendredi à Bassora, au sixième jour d'une contestation sociale qui s'est étendue à d'autres provinces du sud de l'Irak, un pays miné par la corruption et des années de violences.
Les chrétiens d'Orient, dont le Pape a dit samedi craindre l'effacement de la présence dans une région où ils sont enracinés depuis les débuts du christianisme, sont des communautés minoritaires, confrontées à des conflits régionaux et à des attaques jihadistes.
A l'époque des jihadistes, il n'existait qu'une seule radio à Mossoul et elle diffusait d'austères chants religieux et de la propagande militaire. Aujourd'hui, dans cette ville du nord irakien, de jeunes animateurs font bouger les ondes.
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Contactez-nousLa crise qui a éclaté il y a un an entre le Qatar et ses voisins emmenés par l'Arabie saoudite a fait émerger un "nouveau" Golfe, fracturé et instable, tout en modifiant le jeu des alliances au Moyen-Orient, estiment des analystes.
Les tractations politiques se poursuivent mercredi en Irak, où l'Iran voisin tente de renforcer son influence en limitant le futur rôle de Moqtada Sadr, le vainqueur des législatives qui s'est récemment rapproché de l'Arabie saoudite, grand ennemi de Téhéran.
Jusqu'ici, les festivités ont été modestes mais la joie se lit sur les visages. A Sadr City, quartier pauvre de Bagdad, on espère que la possible victoire électorale du dirigeant chiite Moqtada Sadr aura des retombées positives.
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Contactez-nousLes Irakiens ont créé la surprise en plaçant lundi en tête des législatives, selon des résultats encore partiels, deux listes anti-système, loin devant le Premier ministre Haider al-Abadi, pourtant crédité d'un large soutien international et de la récente victoire face aux jihadistes.
Les Irakiens votaient samedi pour décider si le Premier ministre Haider al-Abadi, parvenu en 2014 à son poste grâce un accord tacite entre les Etats-Unis et l'Iran, resterait aux manettes après l'avoir emporté sur les jihadistes, qui menaçaient l'existence du pays.
Près de 24,5 millions d'Irakiens élisaient samedi un nouveau Parlement et beaucoup affichaient leur désir de changement de leur élite politique pour remettre sur pied le pays en lambeaux après trois ans de guerre contre le groupe Etat islamique (EI).
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Contactez-nousPrès de 24,5 millions d'Irakiens sont appelés à élire samedi un nouveau Parlement, dont la tâche principale sera de superviser la reconstruction d'un pays en lambeaux après trois ans de guerre contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI).
Les premières législatives en Irak depuis la victoire sur le groupe Etat islamique (EI) se tiennent samedi dans un contexte inédit: les chiites sont divisés mais donnés gagnant, les Kurdes risquent de perdre leur rôle pivot et les sunnites sont marginalisés.
En se retirant de l'accord sur le nucléaire iranien, Donald Trump se fie une fois de plus à une stratégie de "pression maximale" et libère les voix des "faucons" qui plaident purement et simplement pour oeuvrer à un changement de régime à Téhéran.
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Contactez-nousEn plein désarroi, minés par les divisions, les Kurdes irakiens risquent de perdre une dizaine de sièges lors des élections générales du 12 mai, ce qui réduirait leur capacité à faire valoir les intérêts de leur communauté.
Le Premier ministre sortant, son prédécesseur écarté il y a quatre ans et, en embuscade, le chef des paramilitaires ayant vaincu les jihadistes sont les favoris des premières élections irakiennes après la victoire sur le groupe Etat islamique (EI).
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