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Contactez-nousLa Première ministre britannique Theresa May a demandé un report du Brexit jusqu'au 30 juin 2019, dans une lettre envoyée vendredi au président du Conseil européen Donald Tusk, qui a suggéré de son côté un report "flexible" allant jusqu'à 12 mois.
La Première ministre britannique Theresa May affronte mercredi une motion pouvant faire tomber son gouvernement, au lendemain du désaveu des députés britanniques, qui ont rejeté à une majorité écrasante son accord de sortie de l'Union européenne.
Les députés britanniques entament mardi cinq jours de débats sur les termes du retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne marqués par un premier contretemps provoqué par le refus du governement de publier l'intégralité de l'avis juridique émis sur le texte.
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Contactez-nousLes Lords britanniques se penchent lundi sur un amendement au projet de loi sur le Brexit avant le retour du texte mercredi devant les députés, une semaine difficile pour Theresa May, contrainte de jouer les équilibristes entre pro et anti Brexit au sein même de son parti conservateur.
Pressée par l'Union européenne de dévoiler ses projets et de proposer une solution à l'épineuse question irlandaise, la Première ministre britannique doit préciser vendredi sa vision des futures relations du Royaume-Uni avec l'UE après le Brexit.
A la veille de prononcer un discours sur les futures relations du Royaume-Uni avec l'Union européenne, qu'elle souhaite "les plus souples possibles", la Première ministre britannique a rencontré jeudi le président du Conseil européen Donald Tusk.
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Contactez-nousA la veille de prononcer un discours sur les futures relations du Royaume-Uni avec l'Union européenne, qu'elle souhaite "les plus souples possibles", la Première ministre britannique rencontre jeudi le président du Conseil européen Donald Tusk qui l'a prévenue: des frictions seront "inévitables".
Emmanuel Macron s'est prononcé lundi pour une réforme a minima du statut des magistrats du parquet et annoncé un "plan global" pour les prisons "avant fin février", alors que la colère gronde parmi les surveillants qui ont bloqué l'accès de dizaines d'établissements.
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