Retrouvez l'actualité sur pression sur pyongyang avec Tendance Ouest
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Contactez-nousEngagée dans une vaste offensive diplomatique contre Pékin, l'administration américaine reçoit vendredi deux hauts responsables chinois pour une rencontre qui devrait permettre de dire si l'heure est bien à l'apaisement, trois semaines avant un tête-à-tête Trump-Xi.
Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a annoncé lundi que des inspecteurs internationaux seraient autorisés à visiter le site d'essais nucléaires démantelé par Pyongyang, après une rencontre avec Kim Jong Un qui a produit selon lui des "progrès significatifs" sur la dénucléarisation.
Les Etats-Unis réunissent jeudi le Conseil de sécurité de l'ONU pour défendre leur rapprochement spectaculaire avec la Corée du Nord, tout en réclamant au monde le respect des sanctions internationales tant que la dénucléarisation n'aura pas abouti.
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Contactez-nousLe président américain Donald Trump prend la parole mardi au siège de l'ONU avec l'intention affichée de dénoncer l'Iran, désigné comme responsable de tous les maux du Moyen-Orient mais qui devrait dans la foulée s'en défendre avec virulence.
Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a appelé samedi à "maintenir la pression" sur la Corée du Nord, stigmatisant notamment la Russie pour d'éventuelles violations des sanctions internationales, mais a assuré que le monde était "uni" pour pousser à la dénucléarisation de Pyongyang.
La Corée du nord a pris une décision spectaculaire en annonçant samedi la fin des essais nucléaires et des tests de missiles intercontinentaux ainsi que la fermeture du site d'essais nucléaires, une décision aussitôt saluée par Washington et Séoul mais jugée insatisfaisante par Tokyo.
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Contactez-nousLe Conseil de sécurité de l'ONU a durci vendredi les sanctions contre la Corée du Nord par un vote unanime sur une résolution américaine, en s'attaquant au pétrole et à la question des travailleurs nord-coréens à l'étranger.
Les Etats-Unis ont officiellement accusé lundi la Corée du Nord d'être à l'origine de la cyberattaque mondiale "Wannacry", qui avait affecté quelque 300.000 ordinateurs dans 150 pays.
Le secrétaire d'Etat Rex Tillerson pourrait avoir annoncé un changement radical de la diplomatie américaine sur la question nord-coréenne, en affirmant que Washington était prêt à discuter avec Pyongyang "sans condition préalable".
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