Retrouvez l'actualité sur présenter ses excuses avec Tendance Ouest | Page 2
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe patron de Twitter, Jack Dorsey, a admis mercredi que son service de micro-messages n'était pas "préparé" pour faire face aux manipulations qui ont affecté les réseaux sociaux ces dernières années, notamment lors de la campagne présidentielle américaine de 2016.
L'entraîneur de Tottenham Mauricio Pochettino a assuré lundi, après la victoire devant Manchester United (3-0), n'avoir jamais songé a retirer le brassard de capitaine à Hugo Lloris, arrêté vendredi pour conduite en état d'ivresse.
L'Australie s'est choisie vendredi un nouveau Premier ministre, le septième en 11 ans, en la personne du ministre des Finances Scott Morrison qui a été désigné pour succéder à Malcolm Turnbull au terme d'un "putsch" interne à leur parti.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDéstabilisé par une enquête sur des sévices sexuels qu'ont fait subir des membres du clergé à un millier d'enfants aux Etats-Unis, le pape François a reconnu que l'Eglise avait "abandonné les petits" dans une lettre inédite aux catholiques, mais reste sous pression pour changer radicalement la donne dans les diocèses.
Une délégation de 31 évêques chiliens est convoquée à Rome pour rencontrer à partir de lundi le pape François, qui vient de recevoir les victimes d'un prêtre pédophile de ce pays secoué par les abus sexuels dans l'Eglise.
Le pape, déterminé à corriger ses "graves erreurs" d'appréciation sur un scandale de pédophilie du clergé au Chili, a longuement écouté trois victimes chiliennes, qui devaient mercredi confier leur opinion sur une invitation hors norme née dans la polémique.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDes diplomates russes ont quitté leur ambassade mardi à l'expiration de l'ultimatum fixé par Londres pour sortir du pays en rétorsion à l'empoisonnement d'un ex-espion russe, objet d'une enquête qui pourrait prendre des mois, selon la police.
La première ministre britannique Theresa May réunit mardi son Conseil de sécurité, après que Moscou eut exigé la veille des "preuves" ou des "excuses" de Londres qui l'accuse d'être responsable de l'empoisonnement d'un ex-espion russe au Royaume-Uni.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous