Retrouvez l'actualité sur poches insurgées avec Tendance Ouest
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Contactez-nousAssis à même le sol, parfois allongés pour mieux écrire sur des feuilles blanches, des enfants écoutent studieusement leur instituteur. Dans les territoires rebelles du nord-ouest de la Syrie, les petits suivent les cours dans une villa abandonnée transformée en école.
L'accord turco-russe sur une "zone démilitarisée" à Idleb est peut-être parvenu a éloigner la perspective d'une offensive sur cet ultime grand bastion insurgé de Syrie, mais les experts semblent sceptiques quant à la capacité d'Ankara de l'imposer aux jihadistes de la région.
Par le passé, Abdel Moneim et sa famille ont survécu aux bombardements du régime syrien sur Idleb en trouvant refuge dans une "grotte" souterraine. Alors pour échapper à la mort en cas d'offensive, le père de famille agrandit l'abri de fortune.
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Contactez-nousLe président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé mardi dans une tribune publiée dans le Wall Street Journal la Russie et l'Iran, alliés de Damas, à empêcher la "catastrophe humanitaire" qui se profile dans la province syrienne rebelle d'Idleb.
Après avoir parcouru des milliers de kilomètres, ils ont atterri en Syrie pour mener ce qu'ils croyaient être une guerre sainte. Des jihadistes étrangers sont aujourd'hui prêts à se battre jusqu'au bout pour défendre la province d'Idleb, leur dernier bastion du pays.
Le régime syrien et son allié russe ont bombardé dimanche à coup de missiles et de barils d'explosifs la province d'Idleb, ultime bastion rebelle dans le nord-ouest de la Syrie, tuant deux enfants, selon une ONG.
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Contactez-nousLes bombardements du régime, soutenu par la Russie, contre la province d'Idleb, ultime bastion insurgé dans le nord-ouest de la Syrie, ont repris dimanche après une brève pause, faisant au moins un mort, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
La province d'Idleb, ultime bastion insurgé dans la Syrie en guerre, a été frappée samedi par les raids aériens russes les plus "intenses" depuis un mois, au lendemain de l'échec d'un sommet tripartite sur le sort de cette province.
La province d'Idleb, ultime bastion insurgé dans la Syrie en guerre, a été frappée samedi par les raids aériens russes les plus "intenses" depuis un mois, au lendemain de l'échec d'un sommet tripartite sur le sort de cette province.
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Contactez-nousDernier grand bastion insurgé en Syrie, la province d'Idleb --trois millions d'habitants et plusieurs dizaines de milliers de combattants, jihadistes en majorité--, attend son sort au lendemain de l'échec d'un sommet à Téhéran, faisant craindre une nouvelle catastrophe humanitaire.
Abou Khaled a quitté sa maison pour une tente dans un champ de la province d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie. Il espère que la proximité avec des soldats turcs déployés comme observateurs le protègera d'un assaut du régime syrien.
Les présidents d'Iran, de Russie et de Turquie se retrouvent en sommet vendredi à Téhéran pour décider du sort de la province d'Idleb, ultime grand bastion jihadiste et rebelle de Syrie où la communauté internationale redoute un désastre humanitaire imminent.
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Contactez-nousCraignant un assaut imminent du régime, des centaines de civils ont commencé à fuir la province d'Idleb, à la veille de négociations tripartites cruciales en Iran, censées sceller le sort de cet ultime grand bastion jihadiste et rebelle dans la Syrie en guerre.
Hôpitaux défaillants, habitants dépendant largement des aides et possibilités de fuite très limitées. En cas d'assaut du régime, le dernier grand fief rebelle d'Idleb en Syrie risque un désastre humanitaire, s'alarment l'ONU et des ONG.
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