Retrouvez l'actualité sur parquet national antiterroriste avec Tendance Ouest
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Contactez-nousL'octogénaire suspecté d'avoir blessé deux personnes dans son attaque contre la mosquée de Bayonne, souffre d'une "altération partielle de son discernement", mais sa responsabilité pénale reste engagée et il a été mis en examen mercredi avant d'être placé en détention provisoire.
L'octogénaire suspecté d'avoir blessé deux personnes dans son attaque contre la mosquée de Bayonne souffre d'une "altération partielle de son discernement", mais sa responsabilité pénale reste engagée et il sera présenté mercredi à un juge d'instruction, qui devrait le mettre en examen.
Après quatre ans d'enquête tentaculaire, les juges d'instruction ont terminé leurs investigations sur les attentats du 13 novembre 2015, les plus meurtriers à avoir jamais frappé la France, ouvrant la voie à un procès qui s'annonce hors norme.
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Contactez-nous"Incompétence", "dissimulation", voire "scandale d'Etat": La droite et l'extrême droite réclament la tête du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner et une enquête parlementaire sur la tuerie de la préfecture de police, dont l'auteur était en lien avec la "mouvance salafiste".
Une tuerie préméditée, perpétrée par un homme à la "vision radicale de l'islam" et en contact avec la mouvance "salafiste": le procureur national antiterroriste a confirmé samedi le scénario jihadiste de l'attaque de la préfecture de police de Paris.
"Incompétence", "dissimulation", voire "scandale d'Etat": La droite et l'extrême droite réclament une enquête parlementaire sur la tuerie de la préfecture de police et la tête du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, la piste de la radicalisation islamiste étant désormais privilégiée.
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Contactez-nousLa tuerie survenue jeudi à la préfecture de police, "frappée dans son cœur comme jamais", a plongé cette prestigieuse institution, régulièrement au centre des tempêtes ces derniers mois, dans la stupeur et la tourmente.
Le parquet national antiterroriste (PNAT) s'est saisi vendredi de l'enquête sur l'attaque meurtrière à la préfecture de police qui a fait cinq morts dont l'assaillant, a-t-on appris auprès du PNAT et du parquet de Paris.
Coup de folie ? Attaque jihadiste ? Les enquêteurs cherchaient vendredi à comprendre les motivations qui ont poussé un agent administratif de la Préfecture de police de Paris (PP) à tuer la veille à coups de couteau quatre fonctionnaires au coeur du centre névralgique de la police parisienne.
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Contactez-nousLe suspect de l'attaque au couteau de samedi à Villeurbanne est un Afghan de 33 ans qui avait obtenu l'asile en France en 2018 sous le statut spécifique de la "protection subsidiaire", a appris l'AFP auprès de l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII).
Les enquêteurs tentent dimanche de faire la lumière sur les raisons qui ont poussé un Afghan de 33 ans à semer la terreur à l'arme blanche samedi près d'une station de métro dans l'agglomération lyonnaise, faisant un mort et huit blessés.
Scène de terreur à Villeurbanne samedi-après midi: un homme armé d'un couteau et d'une fourche de barbecue s'en est pris aux passants à une sortie de métro, tuant un jeune de 19 ans et blessant huit autres personnes, dont trois se trouvaient entre la vie et la mort dans la soirée.
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