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Contactez-nousVingt-sept opposants arrêtés après les violences post-électorales au Zimbabwe comparaissaient en justice lundi pour tenter d'obtenir leur liberté provisoire, alors que l'opposition accuse le pouvoir d'une répression tous azimuts pour empêcher la contestation de la présidentielle du 30 juillet, remportée par le sortant Emmerson Mnangagwa.
La commission électorale du Zimbabwe, au service de la fraude au temps du président Robert Mugabe, tombé en novembre, comptait restaurer sa crédibilité lors des élections cette année. Mais une fois de plus, elle se retrouve au coeur de la controverse avec le rejet par l'opposition des résultats.
Devant les policiers anti-émeutes déployés devant les bureaux de la commission électorale à Harare, un partisan de l'opposition brandit un panneau "Non au mauvais décompte". Des manifestants, qui crient à la fraude lors des élections générales de lundi, allument un petit feu sur le bitume, et rapidement la situation dégénère.
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