Retrouvez l'actualité sur ONU avec Tendance Ouest | Page 19
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Contactez-nousDéterminée à arracher des gages pour les civils syriens, l'opposition au président Bachar al-Assad discute officiellement lundi avec l'ONU à Genève, mais n'a pas encore donné son feu vert pour des négociations indirectes avec le régime.
La première rencontre formelle entre l'opposition syrienne et l'émissaire de l'ONU, qui tente d'engager des négociations indirectes de paix pour la Syrie, a débuté lundi au Palais des Nations à Genève, a constaté un journaliste de l'AFP.
L'opposition syrienne pousse ses pions lundi à Genève pour tenter d'obtenir des gages en faveur des civils, avant d'entrer dans une négociation indirecte avec le régime dans l'espoir de trouver une issue à cinq ans d'une guerre meurtrière.
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Contactez-nousAucune amnistie ne doit être envisagée pour les crimes contre l'humanité ou les crimes de guerre commis en Syrie dans le cadre des pourparlers engagés à Genève, a déclaré lundi le Haut Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Zeid Ra'ad Al Hussein.
Aucune amnistie ne doit être envisagée pour les crimes contre l'humanité ou les crimes de guerre commis en Syrie dans le cadre des pourparlers engagés à Genève, a déclaré lundi le Haut Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Zeid Ra'ad Al Hussein.
A reculons et en multipliant les signes de défiance, le régime de Damas et son opposition s'apprêtent à donner une chance aux efforts diplomatiques déployés à Genève pour pacifier la Syrie, et discuteront lundi tour à tour avec l'ONU qui supervise le processus.
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Contactez-nousL'opposition et le régime syriens ont multiplié les gestes de défiance dimanche à Genève tout en acceptant de participer lundi à des discussions formelles, mais séparées, avec l'ONU qui tente de trouver une issue négociée à la guerre en Syrie.
L'opposition et le régime syriens ont affiché leur méfiance dimanche à Genève avant même de commencer à discuter, sous égide de l'ONU, de l'avenir de leur pays, où un attentat revendiqué par le groupe Etat islamique (EI) a encore tué au moins 50 personnes.
Opposition et régime syriens se sont mutuellement accusés de mauvaise foi dimanche à Genève, où l'ONU s'est pourtant dite "optimiste" sur les chances de les faire entrer dans des négociations indirectes pour tenter de mettre un terme à près de cinq ans d'une guerre marquée encore dimanche par un attentat qui a fait 45 morts.
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Contactez-nousLes ennemis syriens, régime et opposition, fourbissaient leurs armes dimanche à Genève, où l'ONU veut les faire entrer dans des négociations indirectes pour tenter de mettre un terme à près de cinq ans d'une guerre sanglante.
Les ennemis syriens, régime et opposition, engagés dans une guerre sanglante depuis près de cinq ans, étaient tous à Genève dimanche, pressés par l'ONU d'entrer dans des discussions indirectes pour mettre un terme au conflit, mais le processus est menacé avant même d'avoir commencé.
Le principal groupe d'opposants syriens a lancé un vibrant appel à sauver son pays en arrivant samedi soir à Genève pour des pourparlers, dont il a immédiatement menacé de se retirer si le régime de Damas continuait de commettre des "crimes".
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Contactez-nousLe principal groupe d'opposants syriens, le Haut comité des négociations (HCN), a menacé samedi de se retirer des discussions de paix organisées par l'ONU à Genève si le régime de Damas "persistait à commettre ses crimes".
La principale coalition de l'opposition syrienne est arrivée samedi à Genève, un jour après les représentants du régime de Damas, pour participer à des pourparlers organisés par l'ONU dans l'espoir de mettre un terme à cinq ans de guerre, alors que la situation sur le terrain reste catastrophique.
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