Retrouvez l'actualité sur offensive du régime avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe président syrien Bachar al-Assad a qualifié de "mesure temporaire" l'accord russo-turc créant une future "zone démilitarisée" dans la province d'Idleb, assurant que ce territoire aux mains des rebelles - qui ont commencé à y retirer leurs armes lourdes - "reviendra" au régime.
Le Front national de libération (FNL), une coalition de groupes rebelles de la province d'Idleb et de ses environs, a nié dimanche tout retrait d'armes lourdes de la future "zone démilitarisée" prévue dans le nord-ouest syrien par un accord russo-turc.
Assis à même le sol, parfois allongés pour mieux écrire sur des feuilles blanches, des enfants écoutent studieusement leur instituteur. Dans les territoires rebelles du nord-ouest de la Syrie, les petits suivent les cours dans une villa abandonnée transformée en école.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousL'accord turco-russe sur une "zone démilitarisée" à Idleb est peut-être parvenu a éloigner la perspective d'une offensive sur cet ultime grand bastion insurgé de Syrie, mais les experts semblent sceptiques quant à la capacité d'Ankara de l'imposer aux jihadistes de la région.
L'armée syrienne a abattu au large de la Syrie un avion de son indéfectible allié russe avec 15 militaires à bord, Moscou faisant toutefois porter mardi la responsabilité à Israël, accusé d'avoir procédé au préalable à des tirs de missiles.
Des groupes rebelles de la province d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie, ont fait sauter deux ponts à la périphérie de cet ultime grand bastion insurgé, en prévision d'une offensive du régime, a rapporté vendredi une ONG.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousHôpitaux défaillants, habitants dépendant largement des aides et possibilités de fuite très limitées. En cas d'assaut du régime, le dernier grand fief rebelle d'Idleb en Syrie risque un désastre humanitaire, s'alarment l'ONU et des ONG.
Les forces du régime syrien bombardaient intensivement dimanche soir une zone désertique sous le contrôle du groupe Etat islamique (EI) près de la province de Soueida, dans le sud de la Syrie, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
L'organisation Etat islamique (EI) a enlevé une trentaine de femmes et d'enfants de la minorité druze en Syrie, lors d'un assaut sanglant mené la semaine dernière dans la province méridionale de Soueida, a indiqué lundi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe chef de l'opposition syrienne en exil, Nasr al-Hariri, s'est dit favorable à une relance des négociations avec le régime sous l'égide de l'ONU pour un règlement du conflit, après avoir admis "les pertes militaires significatives" essuyées sur le terrain.
Les forces du régime syrien ont consolidé leur présence aux portes de Douma, l'ultime poche rebelle dans la Ghouta orientale menacée par un nouvel assaut, les évacuations d'insurgés et de civils se poursuivant dans la région dévastée.
Plusieurs milliers de combattants rebelles et de civils s'apprêtent à quitter jeudi la Ghouta orientale, une première depuis le lancement d'une offensive du régime syrien, déterminé à reconquérir dans son intégralité l'ultime bastion des insurgés aux portes de sa capitale.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe régime syrien poursuit mardi son offensive contre les dernières poches rebelles de la Ghouta orientale, aux portes de Damas, pendant que dans le nord du pays, les Kurdes défaits à Afrine se préparent à l'éventualité de nouvelles attaques turques.
Les forces pro-turques ont pris dimanche le contrôle du centre-ville d'Afrine, a annoncé la Turquie, une étape majeure après deux mois d'une offensive visant à chasser de cette région du nord-ouest syrien une milice kurde considérée comme "terroriste" par Ankara.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous