Retrouvez l'actualité sur noureddine bedoui avec Tendance Ouest
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Contactez-nousEn organisant un "pont aérien" pour emmener les supporters des Fennecs en Egypte, le pouvoir algérien semble espérer se réconcilier avec une population qui réclame son départ depuis cinq mois. Mais les protestataires disent n'être pas dupes.
Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Moad Bouchareb, l'une des cibles de la contestation dont l'Algérie est le théâtre depuis février, a démissionné mardi, a-t-on appris auprès d'un responsable parlementaire.
La police a arrêté dans la matinée des dizaines de personnes près de la Grande Poste à Alger, point de rassemblement du 14e vendredi de manifestations pour réclamer le départ des figures au pouvoir et l'annulation de la présidentielle prévue le 4 juillet.
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Contactez-nousDes milliers d'Algériens sont rassemblés vendredi dans le centre d'Alger pour un 13e vendredi de manifestations dans le pays, où le mois de jeûne du ramadan n'a pas entamé la mobilisation.
Les Algériens ont commencé à se rassembler pour un 11e vendredi consécutif de manifestations, le dernier avant le début du mois de jeûne musulman de ramadan durant lequel ils entendent continuer de protester pour démentir les craintes d'essouflement du mouvement.
Le chef d'état-major de l'armée algérienne a appelé mercredi au "dialogue avec les institutions de l'Etat", après avoir opposé mardi une fin de non-recevoir aux revendications des manifestants, qui réclament la mise en place d'institutions de transition ad hoc pour gérer l'après Abdelaziz Bouteflika.
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Contactez-nousLe mouvement algérien de contestation testera vendredi sa capacité à rester mobilisé lors du 10e vendredi consécutif de manifestations à travers le pays, sur fond de limogeages de symboles du régime Bouteflika déchu et de spectaculaires incarcérations dans des affaires de corruption présumée.
Les Algériens sont attendus en masse dans la rue pour un 9e vendredi consécutif, galvanisés par les concessions obtenues depuis le début de leur contestation du pouvoir et bien décidés à en arracher davantage.
Incarnation d'un "système" dont la contestation algérienne réclame la fin, le président du Conseil constitutionnel algérien Tayeb Belaiz a à son tour démissionné mardi, deux semaines après le chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika, dont il était un très proche.
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Contactez-nousIncarnation d'un "système" dont la contestation algérienne réclame la fin, le président du Conseil constitutionnel algérien Tayeb Belaiz a à son tour démissionné mardi, deux semaines après le chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika, dont il était un très proche.
Le président du Conseil constitutionnel algérien, Taïeb Belaiz, une des principales figures du régime visées par les contestataires, a présenté sa démission mardi, rapporte la télévision nationale.
Le Parlement algérien se réunit mardi, une semaine après la démission d'Abdelaziz Bouteflika, pour lancer un processus d'intérim incertain et massivement rejeté par la rue, qui dénonce une tentative de maintien du "système" au pouvoir.
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Contactez-nousQui assurera l'intérim du président démissionnaire Abdelaziz Bouteflika en Algérie? Le Parlement doit entériner le processus mardi, mais le remplaçant désigné par la Constitution, Abdelkader Bensalah, incarnation d'un "système" dont les Algériens veulent se débarrasser, devrait passer la main.
L'éditorial du quotidien gouvernemental El Moudjahid, traditionnel vecteur de messages du pouvoir en Algérie, suggère dimanche d'écarter Abdelkader Bensalah, contesté par la rue, de la présidence par intérim en le remplaçant à la tête de la Chambre haute.
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