Retrouvez l'actualité sur nassiriya avec Tendance Ouest
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Contactez-nous"Ils essayent de nous faire peur par tous les moyens, mais on reste" dans la rue. Dimanche, des milliers d'Irakiens se sont rassemblés à Bagdad et dans le Sud malgré les violences qui ont fait plus de 450 morts en deux mois.
Un obus s'est écrasé samedi matin près de la maison du leader chiite irakien Moqtada Sadr qui soutient les manifestants antigouvernementaux, victimes dans la nuit d'une tuerie à Bagdad.
Les politiciens négocient la formation d'un nouveau gouvernement en Irak, où les manifestations contre le pouvoir et son parrain iranien se poursuivent pour réclamer la mise à bas de l'ensemble du système actuel.
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Contactez-nousDepuis deux mois, manifestations et violences ont fait des centaines de morts en Irak et forcé le gouvernement à la démission. Mais un secteur reste jusqu'ici hors du tumulte: le pétrole et ses précieux revenus.
Le Parlement a accepté dimanche la démission du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi dans un Irak en deuil, y compris dans les régions sunnites jusqu'ici à l'écart de la contestation, alors que les violences ont fait un nouveau mort à Bagdad.
Rien ne semble pouvoir arrêter la contestation des Irakiens. Ils manifestent et bloquent de nouveau samedi des routes à Bagdad et dans le Sud, malgré l'intention du Premier ministre de démissionner et les centaines de morts dans les violences.
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Contactez-nousRien ne semble pouvoir arrêter la contestation des Irakiens. Ils sont de nouveau dans la rue samedi et bloquent des routes à Bagdad et dans le Sud, malgré l'intention du Premier ministre de démissionner et les centaines de morts dans les violences.
Le grand ayatollah Ali Sistani, figure tutélaire de la politique irakienne, a appelé vendredi à remplacer le gouvernement au lendemain d'une des journées les plus sanglantes en deux mois de contestation déjà marqués par plus de 400 morts.
Un important cortège funéraire a défilé vendredi à Najaf, où 16 manifestants ont été tués la veille, selon des médecins dans la ville sainte du sud de l'Irak où des manifestants ont récemment incendié le consulat d'Iran, a constaté un correspondant de l'AFP.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousAu moins treize manifestants ont été tués jeudi dans le sud de l'Irak, après l'incendie du consulat du grand voisin iranien dans la ville sainte chiite de Najaf qui marque une escalade dans le mouvement inédit de contestation du pouvoir.
La contestation en Irak, qui a déjà fait 350 morts en deux mois, a atteint mercredi un palier inédit avec l'incendie par des manifestants du consulat d'Iran à Najaf, au terme d'une nouvelle journée meurtrière d'un mouvement rejetant le pouvoir à Bagdad et son parrain, Téhéran.
Trois manifestants ont été tués dimanche dans le sud de l'Irak et des dizaines blessés par les forces de l'ordre qui tiraient dans le centre de Bagdad devenu un champ de bataille, la mobilisation se maintenant malgré le risque d'un "bain de sang".
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Contactez-nousDes milliers de manifestants se rassemblent en Irak pour un troisième vendredi consécutif de mobilisation contre leurs dirigeants, de leur côté déterminés à se maintenir et à en finir avec un mouvement de contestation qui paralyse des infrastructures vitales.
Routes coupées, écoles et administrations à Bagdad et dans le sud de l'Irak fermées dimanche, premier jour de la semaine dans le pays: la pression augmente en Irak après un mois de manifestations réclamant "la chute du régime".
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