Retrouvez l'actualité sur najaf avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUn obus s'est écrasé samedi matin près de la maison du leader chiite irakien Moqtada Sadr qui soutient les manifestants antigouvernementaux, victimes dans la nuit d'une tuerie à Bagdad.
Les politiciens négocient la formation d'un nouveau gouvernement en Irak, où les manifestations contre le pouvoir et son parrain iranien se poursuivent pour réclamer la mise à bas de l'ensemble du système actuel.
Le Parlement a accepté dimanche la démission du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi dans un Irak en deuil, y compris dans les régions sunnites jusqu'ici à l'écart de la contestation, alors que les violences ont fait un nouveau mort à Bagdad.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousRien ne semble pouvoir arrêter la contestation des Irakiens. Ils manifestent et bloquent de nouveau samedi des routes à Bagdad et dans le Sud, malgré l'intention du Premier ministre de démissionner et les centaines de morts dans les violences.
Rien ne semble pouvoir arrêter la contestation des Irakiens. Ils sont de nouveau dans la rue samedi et bloquent des routes à Bagdad et dans le Sud, malgré l'intention du Premier ministre de démissionner et les centaines de morts dans les violences.
Le grand ayatollah Ali Sistani, figure tutélaire de la politique irakienne, a appelé vendredi à remplacer le gouvernement au lendemain d'une des journées les plus sanglantes en deux mois de contestation déjà marqués par plus de 400 morts.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUn important cortège funéraire a défilé vendredi à Najaf, où 16 manifestants ont été tués la veille, selon des médecins dans la ville sainte du sud de l'Irak où des manifestants ont récemment incendié le consulat d'Iran, a constaté un correspondant de l'AFP.
Au moins treize manifestants ont été tués jeudi dans le sud de l'Irak, après l'incendie du consulat du grand voisin iranien dans la ville sainte chiite de Najaf qui marque une escalade dans le mouvement inédit de contestation du pouvoir.
L'Iran a demandé jeudi à l'Irak de prendre des mesures "décisives" contre les "agresseurs" à l'origine d'un incendie la veille de son consulat dans la ville sainte chiite de Najaf, dans le sud de l'Irak.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa contestation en Irak, qui a déjà fait 350 morts en deux mois, a atteint mercredi un palier inédit avec l'incendie par des manifestants du consulat d'Iran à Najaf, au terme d'une nouvelle journée meurtrière d'un mouvement rejetant le pouvoir à Bagdad et son parrain, Téhéran.
Les forces de sécurité ont chassé samedi les manifestants antigouvernementaux de plusieurs de leurs campements en Irak, après un accord politique qui prévoit le maintien du pouvoir en place quitte à recourir à la force pour en finir avec la contestation.
Les forces irakiennes ont tiré sur des manifestants à Bagdad après une nuit de violences près du consulat iranien à Kerbala, dans le sud de l'Irak, où la désobéissance civile paralyse routes, infrastructures pétrolières et administrations.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousRoutes coupées, écoles et administrations à Bagdad et dans le sud de l'Irak fermées dimanche, premier jour de la semaine dans le pays: la pression augmente en Irak après un mois de manifestations réclamant "la chute du régime".
Les écoles et de nombreuses institutions publiques à Bagdad et dans le sud de l'Irak sont restées fermées dimanche, premier jour de la semaine dans le pays, où des manifestants réclament depuis un mois "la chute du régime", ont constaté des journalistes de l'AFP.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous