Retrouvez l'actualité sur Mossoul avec Tendance Ouest | Page 7
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Contactez-nousLe Parlement philippin a prolongé samedi jusqu'à fin 2017 la loi martiale dans le sud du pays afin de contrer un soulèvement islamiste, malgré le risque d'une dérive autoritaire craint par des opposants.
Le ministre américain de la Défense, James Mattis, a estimé vendredi que le chef du groupe Etat islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, était "en vie".
Là-bas, il n'y a pas de sécurité, pas de protection pour les chrétiens", lâche Haitham Behnam. Pour cet habitant de Mossoul chassé par le groupe Etat islamique (EI), la question du retour ne se pose même pas, malgré la défaite des jihadistes.
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Contactez-nousDonald Trump est devenu le 20 janvier président des Etats-Unis, après avoir multiplié les promesses lors d'une campagne électorale éprouvante. Six mois plus tard, qu'a-t-il fait concernant ses principaux engagements?
Debout devant sa maison à Mossoul-Ouest, Manaf Younès observe un ouvrier en train de déblayer les gravats sur le balcon à moitié écroulé. Dans la deuxième ville d'Irak, l'heure est à la débrouille avant les grands travaux de reconstruction.
Installé dans un camp de déplacés de Debaga près de Mossoul, Adel n'a pas vu ses parents depuis neuf mois. Pour l'adolescent de 15 ans, c'était le prix à payer pour échapper aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI).
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Contactez-nous"Ma maison a été réduite en poussière", se lamente Yassine Najem, un habitant de Mossoul installé dans un camp de déplacés près de la deuxième ville d'Irak. Pour lui comme pour des milliers d'autres personnes, le retour n'est qu'un rêve lointain.
Aux portes du vieux Mossoul ravagé par les combats, Abdel Razak Salmane sait qu'il a tout perdu. Mais il lui reste l'espoir, mince mais tenace, de retrouver les corps de ses proches, morts dans le bombardement de leur maison.
Près du vieux Mossoul ravagé par les combats, Maher Al-Nejmawi observe avec satisfaction un ouvrier en train de repeindre son échoppe, abandonnée depuis plusieurs mois.
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Contactez-nousL'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a affirmé mardi détenir des informations de hauts responsables du groupe jihadiste État islamique (EI) confirmant la mort de leur chef, Abou Bakr al-Baghdadi.
Immeubles aplatis, décombres à perte de vue et véhicules calcinés. Le Vieux Mossoul, autrefois le coeur battant de la deuxième ville d'Irak, n'est plus qu'un immense champ de ruines après des semaines de combats acharnés entre forces armées et jihadistes.
Abou Bakr al-Baghdadi, le chef du groupe jihadiste Etat islamique (EI) qui a perdu dimanche son fief de Mossoul, n'a plus donné signe de vie depuis huit mois. Ses partisans l'appellent "Le fantôme" tant ses apparitions sont rares.
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Contactez-nousLe Premier ministre irakien Haider al-Abadi a proclamé dimanche la victoire dans Mossoul "libérée" à l'issue d'une bataille de près de neuf mois contre les jihadistes du groupe Etat islmaique (EI), a indiqué son bureau dans un communiqué.
Au crépuscule de la bataille de Mossoul, les plus fragiles payent leur survie au prix fort. Comme les centaines de femmes et d'enfants libérés du joug du groupe Etat islamique (EI), qui émergent ces derniers jours des ruines tels des zombies, inconsolables et prostrés.
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