Retrouvez l'actualité sur migrants en libye avec Tendance Ouest
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Contactez-nousQuelque 300 migrants restent retenus jeudi dans un centre de détention près de la capitale libyenne Tripoli, cible d'un bombardement aérien qui a fait des dizaines de morts et provoqué un tollé international.
Quelque 300 migrants sont toujours détenus dans le centre de Tajoura, près de la capitale libyenne Tripoli, au lendemain d'un bombardement aérien qui a fait plus de 44 morts et 130 blessés, selon le bureau de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Près de 40 migrants ont été tués dans une frappe aérienne contre leur centre de détention dans la banlieue de Tripoli, attribuée aux forces du maréchal Khalifa Haftar qui tentent depuis trois mois de s'emparer de la capitale.
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Contactez-nousLe pétrolier ravitailleur Elhiblu 1, détourné par des migrants qu'il avait secourus mais qui ne voulaient pas être reconduits en Libye, est arrivé jeudi à Malte après qu'un commando de la marine maltaise en a repris le contrôle dans la nuit.
En six mois de pouvoir en Italie, la Ligue (extrême droite) a obtenu un quasi-blocage des arrivées de migrants mais les experts redoutent que ses mesures augmentent le nombre et la marginalisation des clandestins dans la péninsule.
Trois bébés sont morts et une centaine de personnes sont portées disparues, dont des femmes et des enfants, lors d'un naufrage vendredi au large des côtes libyennes, dans un nouveau drame de l'immigration clandestine.
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Contactez-nousUn cargo danois transportant 108 migrants, secourus vendredi au large de la Libye, a finalement été autorisé dans la nuit de lundi à mardi à accoster en Sicile, mais l'incertitude régnait toujours sur le sort de 234 autres migrants à bord du Lifeline, un navire affrété par une ONG.
Le ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini s'est rendu lundi à Tripoli pour y chercher le moyen d'empêcher les milliers de migrants en quête d'un avenir meilleur de franchir la Méditerranée, où la situation restait incertaine pour des centaines d'entre eux.
Critiqué pour son silence à propos de l'Aquarius, Emmanuel Macron a fini par dénoncer mardi le "cynisme" et l'"irresponsabilité" de l'Italie mais des voix se sont élevées jusque dans les rangs de la majorité pour déplorer que la France n'ait pas proposé d'accueillir elle-même le bateau chargé de migrants.
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