Retrouvez l'actualité sur manifestation avec Tendance Ouest | Page 12
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Contactez-nousFrançois Hollande reçoit mercredi les syndicats de policiers, dix jours après le début du mouvement de colère hors cadre syndical qui se poursuit avec un rassemblement des protestataires devant l'Assemblée nationale.
Débordés, ils tentent de reprendre la main: une semaine après le début du mouvement de grogne, les syndicats de policiers, appellent à des rassemblements mardi devant les tribunaux pour dénoncer notamment le "laxisme" de la justice avec les agresseurs de forces de l'ordre.
Plusieurs centaines de policiers en civil ont à nouveau manifesté lundi soir à Paris, à la veille de ra&ssemblements devant les palais de justice de France à l'appel d'une intersyndicale, a constaté un journaliste de l'AFP.
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Contactez-nousFrançois Hollande rencontrera mercredi les organisations représentatives de la police nationale, puis le Conseil de la fonction militaire de la gendarmerie, alors que l'exécutif fait face depuis une semaine à un mouvement de grogne des policiers, qui échappe aux syndicats.
Environ 80 policiers et leurs familles se sont rassemblés samedi à Évry (Essonne) pour réclamer "plus de moyens" et "du respect", cinq jours après les premières manifestations des forces de l'ordre, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Concertations avec les préfets, rencontre avec François Hollande, appels à manifester pour plus de moyens : les policiers poursuivent la semaine prochaine leur bras de fer avec le gouvernement et leur hiérarchie, encouragés par une mobilisation grandissante que les syndicats tentent de canaliser.
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Contactez-nousFrançois Hollande a annoncé vendredi qu'il recevrait les syndicats de policiers en "début de semaine" prochaine, tentant d'apaiser la grogne qui s'est poursuivie jeudi soir avec des centaines de manifestants à Paris et en région.
Près de 500 policiers se sont rassemblés dans la nuit de jeudi à vendredi place du Trocadéro à Paris avant de partir en cortège sauvage vers les Champs-Élysées pour continuer d'exprimer leur mécontentement, douze jours après l'attaque contre des policiers à Viry-Châtillon, a constaté une journaliste de l'AFP.
Lundi soir, sur un parking de Corbeil-Essonnes: le patron de la police de l'Essonne, Luc-Didier Mazoyer, tente de dissuader une centaine d'agents en colère de rejoindre les Champs-Élysées. En vain. Certains lui tournent le dos: c'est le point de départ d'une grogne qui a fait tache d'huile.
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Contactez-nousManifestations sur les Champs-Elysées et dans des villes de province: le mouvement de colère des policiers ne faiblit pas en dépit des promesses du gouvernement, confronté aux critiques de la droite et de l'extrême droite à quelques mois de la présidentielle.
Valls demande aux policiers de "continuer le dialogue" entamé avec le gouvernement
De nouvelles manifestations de policiers, jusque sur les Champs-Elysées, ont montré dans la nuit de mercredi à jeudi que leur colère restait forte, malgré la mobilisation du gouvernement et sa promesse de "concertations" sur leurs revendications.
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Contactez-nousFace aux manifestations et avant une "marche de la colère", le gouvernement s'est efforcé mercredi de répondre au ras-le-bol des policiers en annonçant des "concertations" sur leurs revendications, alors que la fronde a viré à la polémique politique.
Les manifestations de ras-le-bol policier se poursuivent et les déclarations du Premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis mercredi dénonçant "la patte du FN" divisent jeudi la presse.
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