Retrouvez l'actualité sur les voix de la mémoire avec Tendance Ouest
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Contactez-nousPaulette Gondouin, 13 ans en 1944 résidaient près de Chambois. Elle témoigne des conditions de vie au moment de la libération sous les pluies d'obus.
Gérard Gondouin, 15 ans en 1944 résidaient alors à Chambois. Il raconte l'arrivée des Américains dans la cour de sa ferme.
Raymon Ciroux, âgé de 19 ans en 1944 raconte les dernières heures de la libération d'Alençon et comment il a été envoyé seul reconnaître si un pont était gardé ou non par les Allemands. Un grand moment de panique.
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Contactez-nousLycéen et résistant pendant la seconde guerre mondiale, Raymond Ciroux raconte l'histoire incroyable qu'il a conduit a échappé à la fusillade par les allemands de peu.
Michèle Bouju n'avait que 13 ans en 1944. Elle se remémore les privations durant la guerre.
Les tout-petits sont l'avenir, mais c'est aussi eux qui auront la charge d'entretenir le souvenir et la mémoire des soldats venus libérer la France.
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Contactez-nousEn 1944, Georgette Godes avait 7 ans. La petite fille vivait alors à Saint-Laurent-sur-Mer, à quelques pas de la plage d'Omaha où débarquèrent des milliers de soldats au matin du 6 juin.
Jean-Pierre Langeard a 16 ans en 1944 quand il assiste aux bombardements à Caen.
En 1944, Geneviève Delarocque avait 17 ans. L'adolescente vivait alors au 92, de la rue de Bayeux à Caen. De sa chambre de jeune fille, Geneviève Delarocque a vu l'un des premiers chars alliés entrer dans la capitale régionale, à la Libération. "Je suis montée sur un char. J'ai embrassé un soldat. C'était un Canadien".
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Contactez-nousArlette Lesieutre était en pension près de Rouen, le 19 avril 1944, quand la ville croulait sous les bombes. Elle se souvient de tout. Des bombes s'abattant sur la ville, de la place des Carmes totalement détruite et du sentiment qu'elle a ressenti ce jour là : "C'était presque beau".
Huguette Cattouard, une Rouennaise de 85 ans, nous raconte l'exode contraint qu'elle a vécu avec sa famille, son retour à Rouen où elle a grandi et la libération de sa ville par les Canadiens "qui parlaient français."
Françoise Comte, 13 ans quand la guerre éclate, témoigne de son retour de déportation. Elle a ressenti comme un grand vide. Qu'était devenue sa famille ?
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Contactez-nousFrançoise Comte n'a que 13 ans quand la guerre éclate. Pourtant elle sera impliquée dans la résistance. Elles nous raconte comment est née la résistance dan l'Orne.
Fançoise Comte a 13 ans lorsque la guerre éclate. Déportée, elle reste "marquée par cette épisode dont on ne peut se défaire". Ecoutez son témoignage.
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