Retrouvez l'actualité sur lafarge en syrie avec Tendance Ouest
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Contactez-nous"Je n'ai jamais été saisi d'une question concernant Lafarge": entendu comme témoin, l'ex-chef de la diplomatie Laurent Fabius a affirmé aux juges n'avoir rien su du maintien du cimentier en Syrie en pleine guerre au prix d'arrangements financiers avec des groupes armés comme l'organisation jihadiste EI.
"Je n'ai jamais été saisi d'une question concernant Lafarge": entendu comme témoin, l'ex-chef de la diplomatie Laurent Fabius a affirmé aux juges n'avoir rien su du maintien du cimentier en Syrie en pleine guerre au prix d'arrangements financiers avec des groupes armés comme l'organisation jihadiste EI.
Accusé d'avoir financé "le terrorisme" et mis en danger ses salariés en Syrie, le groupe cimentier Lafarge a toujours qualifié la sécurité de ses équipes de "priorité". Or, parmi les nombreux employés enlevés, un a été tué et un autre reste porté disparu, selon des témoignages recueillis par l'AFP.
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Contactez-nousL'ONG Sherpa, partie civile dans l'enquête pour financement du terrorisme qui vise Lafarge, accuse le cimentier de ne pas collaborer avec les enquêteurs et demande au parquet de diligenter une enquête "pour entrave à l'exercice de la justice", a indiqué mardi l'association.
La direction française de Lafarge pouvait-elle ignorer le pacte conclu par sa filiale syrienne avec l'Etat islamique (EI)? L'ex-PDG Bruno Lafont et un autre dirigeant ont été mis en examen vendredi pour "financement d'une entreprise terroriste", tout comme l'ex-directeur général Eric Olsen jeudi, une première pour de grands patrons français.
Trois responsables de Lafarge, dont l'ex-PDG Bruno Lafont, étaient mercredi devant les enquêteurs pour être interrogés sur les activités en Syrie du cimentier, soupçonné d'avoir indirectement financé le groupe Etat islamique (EI), a appris l'AFP de sources proches du dossier.
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Contactez-nousDeux autres cadres du cimentier Lafarge, soupçonné d'avoir indirectement financé des organisations jihadistes, dont le groupe Etat islamique, pour continuer à faire fonctionner sa cimenterie en Syrie malgré la guerre, ont été mis en examen vendredi, a-t-on appris de source judiciaire.
Un premier cadre du cimentier Lafarge, soupçonné d'avoir indirectement financé des organisations jihadistes, dont le groupe Etat islamique, pour se maintenir en Syrie malgré la guerre, a été mis en examen vendredi, a-t-on appris auprès de son avocat.
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