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Contactez-nousLes sénateurs boliviens ont donné leur feu vert samedi à de nouvelles élections présidentielle et législatives sans Evo Morales, des scrutins censés mettre un terme à l'instabilité née après la présidentielle controversée du 20 octobre.
Neuf croix placées sur le bord de la route de Cochabamba, en Bolivie, rappellent que vendredi neuf partisans de l'ex-président Evo Morales ont été tués pendant une manifestation. Après l'"humiliation", les habitants ressentent de la colère envers le nouveau gouvernement.
La présidente bolivienne par intérim, Jeanine Añez, a annoncé dimanche la convocation d'élections "transparentes" "très vite", alors que la situation restait tendue dans le pays, entre un pouvoir qui parle de désescalade et l'ex-président Evo Morales qui évoque des "crimes contre l'humanité".
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Contactez-nousLa présidente par intérim de la Bolivie a haussé le ton vendredi contre Evo Morales, le menaçant de poursuites s'il revenait dans son pays, tandis que les partisans de l'ex-chef de l'Etat, qui s'est exilé au Mexique, maintenaient la pression dans la rue.
La nouvelle présidente bolivienne par intérim, Jeanine Añez, tentait jeudi de pacifier le pays deux jours après son accession au pouvoir à la suite de la démission forcée d'Evo Morales et de son départ vers le Mexique.
Nomination d'un gouvernement, convocation d'élections : dans une Bolivie encore secouée par des manifestations, la présidente par intérim Jeanine Añez tentait mercredi de combler le vide politique laissé par le départ d'Evo Morales, qui s'est déjà dit prêt à rentrer pour "apaiser" la situation.
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Contactez-nousDe nombreux responsables de la gauche latino-américaine ont qualifié dimanche de "coup d'Etat" les événements qui ont conduit à la démission du président bolivien Evo Morales.
Le président Evo Morales a annoncé dimanche qu'il convoquerait de nouvelles élections en Bolivie, où la contestation du scrutin du 20 octobre, qui a abouti à sa réélection pour un quatrième mandat, n'a cessé de prendre de l'ampleur depuis trois semaines.
Le président Evo Morales a lancé samedi un appel au dialogue aussitôt rejeté par l'opposition, et des incidents se sont poursuivis dans la nuit dans une Bolivie sous haute tension, avec des mutineries d'unités policières et l'occupation de médias d'Etat par des manifestants.
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Contactez-nousLe président bolivien Evo Morales a convoqué une réunion d'urgence vendredi soir avec plusieurs ministres dans la foulée de mutineries d'au moins trois compagnies de police, une rébellion contre laquelle le pouvoir exclut pour l'heure d'envoyer l'armée.
Sur toute la planète, des citoyens se mobilisent depuis des semaines voire des mois pour réclamer des changements dans leur pays. Rencontre de journalistes de l'AFP avec sept d'entre eux.
Le président prédit un coup d'Etat dans "la semaine": huit jours après la réélection controversée d'Evo Morales, au pouvoir depuis 2006, l'opposition bolivienne veut intensifier la contestation, étendre le mouvement à la capitale et réclame désormais l'annulation pure et simple du scrutin.
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Contactez-nousLa réélection contestée du socialiste Evo Morales, à la tête de la Bolivie pour un quatrième mandat, soulève des questions sur le futur de la Bolivie. Va-t-elle devenir un régime autoritaire isolé sur la scène internationale, comme celui de Nicolas Maduro au Venezuela?
Le président bolivien Evo Morales a exclu samedi "toute négociation politique" avec l'opposition, qui conteste les résultats de l'élection présidentielle du 20 octobre, et a écarté toute éventualité d'un second tour, malgré les tensions dans le pays.
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