Retrouvez l'actualité sur kurdes syriens avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes "milliers" de jihadistes étrangers et leurs familles retenus en Syrie posent "un danger" malgré la chute du "califat" du groupe Etat islamique (EI), ont averti dimanche les Kurdes syriens, exhortant la communauté internationale à désamorcer cette potentielle bombe à retardement.
Une fois la dernière poche jihadiste vaincue, et les soldats américains partis, quelle organisation militaire en Syrie contre le groupe Etat islamique? Les ministres de la Défense des pays de la coalition internationale en discutent vendredi à Munich.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a de nouveau menacé lundi les milices kurdes de Syrie et envoyé des renforts militaires à la frontière de ce pays en préparation d'une éventuelle offensive après le retrait attendu des troupes américaines.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa France, le Royaume-Uni et l'Allemagne, alliés des Etats-Unis dans la lutte contre le groupe Etat islamique (EI), ont vivement réagi jeudi à la décision du président Donald Trump de retirer les troupes américaines stationnées en Syrie, Moscou la jugeant en revanche fondée.
Laisser les jihadistes étrangers et leurs épouses être jugés en Irak ou Syrie: c'est le souhait de nombreux pays européens, la France en tête. Mais chez les Kurdes syriens, qui en détiennent des milliers, l'option n'est pas sans risque.
Plus de 150.000 civils ont fui la ville d'Afrine depuis mercredi soir pour échapper à l'offensive des forces turques contre une milice kurde dans cette région du nord-ouest de la Syrie, a rapporté samedi matin l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe président turc Recep Tayyip Erdogan a menacé vendredi d'élargir considérablement l'offensive que mène Ankara dans le nord de la Syrie contre une milice kurde, faisant fi des appels à la retenue de la communauté internationale.
La Turquie a demandé mercredi à la Russie et l'Iran d'"assumer leurs responsabilités" en stoppant une offensive du régime syrien contre une province rebelle, signe de tensions croissantes entre les parrains des belligérants avant de nouveaux pourparlers.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous