Retrouvez l'actualité sur kirkouk avec Tendance Ouest | Page 2
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Contactez-nous"Avant, nous ne pouvions pas dire avec fierté que nous étions Turkmènes, maintenant notre drapeau flotte de nouveau sur la citadelle de Kirkouk", se réjouit Omar Najat, un Irakien de 23 ans.
Les troupes irakiennes ont repris mardi les deux principaux champs pétroliers de la ville de Kirkouk après le retrait des forces kurdes, détruisant les espoirs d'indépendance de la région autonome en plein marasme économique.
Le Conseil de sécurité du Kurdistan irakien a annoncé dans la nuit de dimanche à lundi que les troupes irakiennes faisaient mouvement pour "prendre une base militaire et les champs de pétrole" de la province disputée de Kirkouk.
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Contactez-nousForces irakiennes et kurdes se faisaient face à la lisière de la ville de Kirkouk samedi, dernier jour donné par Bagdad aux peshmergas pour se retirer des zones prises il y a trois ans, tandis que Washington tentait de calmer les tensions.
D'un côté, l'énorme panneau appelle au "jihad", de l'autre il promet la mort aux fumeurs: dès l'entrée de Hawija, tout juste reprise par les forces irakiennes, les signes de trois ans d'emprise du groupe Etat islamique (EI) sont toujours bien visibles.
Une victoire massive du "oui" au référendum d'indépendance est attendu au Kurdistan irakien, faisant craindre une escalade avec Bagdad, où le gouvernement fédéral préparait mardi sa riposte.
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Contactez-nousLes Kurdes d'Irak se prononcent lundi sur leur indépendance lors d'un référendum historique, avec la volonté d'obtenir un État pour lequel ils luttent depuis près d'un siècle.
Les Kurdes irakiens doivent voter lundi sur leur indépendance dans un climat de forte appréhension en raison des menaces de représailles proférées tant en Irak que chez les voisins turcs et iraniens.
Le Premier ministre irakien Haïder al-Abadi a annoncé jeudi le début de l'offensive contre Hawija, l'un des deux derniers bastions du groupe État islamique (EI) dans le pays.
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Contactez-nousLe Premier ministre irakien Haider al-Abadi a annoncé dans la nuit de samedi à dimanche le début de la bataille pour reprendre au groupe jihadiste Etat islamique (EI) la ville de Tal Afar, son dernier bastion dans la province septentrionale de Ninive.
Installé dans un camp de déplacés de Debaga près de Mossoul, Adel n'a pas vu ses parents depuis neuf mois. Pour l'adolescent de 15 ans, c'était le prix à payer pour échapper aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI).
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