Retrouvez l'actualité sur julien coupat avec Tendance Ouest
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Contactez-nousAbsence de preuves, un groupe présenté comme "une fiction": le tribunal correctionnel a tiré jeudi le bilan juridique des errances d'une enquête sur le sabotage en 2008 de lignes SNCF en relaxant la quasi-totalité des prévenus du groupe libertaire de Tarnac.
Les principaux prévenus Julien Coupat et Yildune Lévy ont été relaxés jeudi des poursuites de sabotage d'une ligne SNCF et d'association de malfaiteurs pour lesquels ils ont comparu devant le tribunal correctionnel de Paris dans le cadre du procès du "groupe de Tarnac"
Après trois semaines de débats qui ont viré au procès de l'antiterrorisme, le tribunal correctionnel de Paris rend jeudi son jugement sur les huit membres du groupe libertaire de Tarnac poursuivis notamment pour des dégradations sur une ligne SNCF.
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Contactez-nousLe tribunal correctionnel de Paris est arrivé vendredi sur les lieux du sabotage d'une ligne SNCF pour lequel des membres du "groupe de Tarnac" sont poursuivis, commençant son audience dans la commune du Trilport en Seine-et-Marne, a constaté un journaliste de l'AFP.
Événement rare dans les annales judiciaires, le tribunal correctionnel de Paris se déplace vendredi en Seine-et-Marne, sur les lieux du sabotage d'une ligne SNCF pour lequel des membres du groupe de Tarnac sont poursuivis.
Mis en cause il y a dix ans pour terrorisme, ils sont jugés seulement pour dégradation de ligne SNCF: au premier jour du procès des huit militants du "groupe de Tarnac", le tribunal a décidé de se rendre bientôt sur les lieux du sabotage.
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Contactez-nousIls avaient d'abord été mis en cause pour terrorisme, mais la qualification a été abandonnée: le procès de huit militants libertaires du "groupe de Tarnac", poursuivis notamment pour la dégradation d'une ligne SNCF il y a dix ans, s'est ouvert mardi à Paris.
Initialement inculpés pour des faits de terrorisme, huit militants libertaires du groupe de "Tarnac" comparaissent mardi à Paris, dix ans plus tard, pour la dégradation d'une ligne ferroviaire et des manifestations violentes, des accusations qu'ils réfutent, dénonçant un procès politique.
Le procès de huit militants libertaires du "groupe de Tarnac", poursuivis notamment pour la dégradation d'une ligne SNCF dix après avoir été mis en cause pour terrorisme, une qualification abandonnée, s'est ouvert mardi devant le tribunal correctionnel de Paris.
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Contactez-nousInitialement inculpés en France pour des faits de terrorisme, huit militants libertaires du groupe de "Tarnac" comparaissent mardi, soit dix ans plus tard, pour la dégradation d'une ligne ferroviaire et des manifestations violentes, des accusations qu'ils réfutent, dénonçant un procès politique.
Résurgence de l'extrême gauche violente ou épouvantail agité par le politique ? L'ultragauche, à l'origine des revendications d'incendies de casernes de gendarmerie, inquiète de nouveau les autorités qui la croient "capable" de basculer dans le "terrorisme".
La Cour de cassation a définitivement écarté mardi la qualification terroriste pour les poursuites contre Julien Coupat et les autres membres du groupe de Tarnac.
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