Retrouvez l'actualité sur italia avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousPour la première fois depuis le début de la contestation sociale il y a un mois au Chili, le président Sebastian Piñera a condamné les violences perpétrées par les forces de l'ordre contre les manifestants.
Les partis politiques au Chili ont conclu vendredi un accord historique au Parlement pour organiser un référendum en avril 2020 sur une nouvelle Constitution remplaçant celle héritée de la dictature d'Augusto Pinochet, dans l'espoir d'apaiser la crise sociale qui secoue le pays depuis près d'un mois.
Le président chilien Sebastian Piñera a annoncé samedi préparer un projet de modification de la Constitution, promulguée sous la dictature d'Augusto Pinochet (1973-1990), une revendication des manifestants qui protestent depuis trois semaines contre la politique du gouvernement.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousUne marche pacifique de dizaines de milliers de personnes rassemblées vendredi à Santiago pour protester contre la politique du gouvernement a été suivie par des incidents entre contestataires et policiers et par l'incendie d'une université.
Des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés vendredi dans le centre de Santiago pour protester contre la politique du gouvernement, et le siège d'une université de la capitale chilienne a été incendié lors d'incidents violents.
Il reconnaît qu'il est "responsable d'une partie" des "problèmes qui se sont accumulés depuis 30 ans" mais exclut de démissionner : en cette troisième semaine de contestation au Chili, le président Pinera se dit ouvert à la discussion et n'écarte pas une réforme de la Constitution.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDe nouveaux affrontements ont éclaté lundi au Chili où le mouvement de contestation populaire, qui est entré dans sa troisième semaine, reste massif malgré l'annonce de nombreuses mesures sociales.
La rue est le théâtre de leur colère, les murs de Santiago le support de leurs revendications. Au Chili, entre graffitis et pochoirs, la capitale porte l'empreinte de la contestation, les manifestants rivalisant de créativité pour mettre en mots et en images leur mécontentement.
Deux semaines après le déclenchement d'une crise sociale sans précédent au Chili, les manifestants sont une nouvelle fois descendus dans la rue vendredi pour réclamer des réformes au gouvernement du président Sebastian Pinera.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe gouvernement conservateur chilien s'est réuni jeudi avec l'opposition pour tenter de trouver une sortie consensuelle à la crise sociale sans précédent qui secoue le pays depuis près deux semaines, sans convaincre la gauche, alors que les manifestants continuaient à protester à Santiago.
Le président chilien Sebastian Pinera a procédé lundi à un remaniement gouvernemental, mais sans pour l'heure réussir à apaiser la crise sociale alors que de nouvelles violences ont éclaté à Santiago.
Le gouvernement du président chilien Sebastian Pinera se trouvait vendredi plus que jamais sous pression: plus d'un million personnes ont défilé au Chili dans une mobilisation historique pour protester contre les inégalités sociales.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDes milliers de personnes ont manifesté à Santiago et dans d'autres villes du Chili mercredi, au premier jour d'une grève générale convoquée en pleine crise sociale, qui a déjà fait 18 morts, dont un enfant de quatre ans.
Les principaux syndicats et mouvements sociaux au Chili appellent pour mercredi et jeudi, malgré les mesures proposées par le président Sebastian Piñera, à une grève générale qui menace d'attiser la violente crise sociale qui a fait 15 morts depuis six jours.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous