Retrouvez l'actualité sur Irak avec Tendance Ouest
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Contactez-nousAbou Ismail empile quelques matelas, les jouets de ses sept enfants et un réchaud à gaz dans un pick-up. "Je ne sais pas où je vais", affirme-t-il juste avant son départ d'une ville du nord-ouest de la Syrie, pilonnée par le régime.
Après une accalmie, les manifestants haussent le ton dimanche en Irak face au marasme des politiciens incapables de s'accorder sur un nouveau Premier ministre et à l'intransigeance du voisin iranien qui refuse de céder du terrain.
Le nombre de journalistes tués a quasiment chuté de moitié en 2019, un niveau "historiquement bas" lié à des zones de conflit moins meurtrières qu'en 2018, selon le bilan annuel de RSF qui souligne toutefois que le journalisme reste un métier dangereux.
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Contactez-nous"Ils essayent de nous faire peur par tous les moyens, mais on reste" dans la rue. Dimanche, des milliers d'Irakiens se sont rassemblés à Bagdad et dans le Sud malgré les violences qui ont fait plus de 450 morts en deux mois.
Un obus s'est écrasé samedi matin près de la maison du leader chiite irakien Moqtada Sadr qui soutient les manifestants antigouvernementaux, victimes dans la nuit d'une tuerie à Bagdad.
Les politiciens négocient la formation d'un nouveau gouvernement en Irak, où les manifestations contre le pouvoir et son parrain iranien se poursuivent pour réclamer la mise à bas de l'ensemble du système actuel.
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Contactez-nousDepuis deux mois, manifestations et violences ont fait des centaines de morts en Irak et forcé le gouvernement à la démission. Mais un secteur reste jusqu'ici hors du tumulte: le pétrole et ses précieux revenus.
Le Parlement a accepté dimanche la démission du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi dans un Irak en deuil, y compris dans les régions sunnites jusqu'ici à l'écart de la contestation, alors que les violences ont fait un nouveau mort à Bagdad.
Proche d'Angela Merkel, Ursula von der Leyen prend dimanche la présidence de la Commission, forte d'une image d'Européenne convaincue mais déjà éprouvée par une procédure de confirmation difficile, elle va devoir convaincre.
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Contactez-nousRien ne semble pouvoir arrêter la contestation des Irakiens. Ils manifestent et bloquent de nouveau samedi des routes à Bagdad et dans le Sud, malgré l'intention du Premier ministre de démissionner et les centaines de morts dans les violences.
Rien ne semble pouvoir arrêter la contestation des Irakiens. Ils sont de nouveau dans la rue samedi et bloquent des routes à Bagdad et dans le Sud, malgré l'intention du Premier ministre de démissionner et les centaines de morts dans les violences.
Le grand ayatollah Ali Sistani, figure tutélaire de la politique irakienne, a appelé vendredi à remplacer le gouvernement au lendemain d'une des journées les plus sanglantes en deux mois de contestation déjà marqués par plus de 400 morts.
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Contactez-nousUn important cortège funéraire a défilé vendredi à Najaf, où 16 manifestants ont été tués la veille, selon des médecins dans la ville sainte du sud de l'Irak où des manifestants ont récemment incendié le consulat d'Iran, a constaté un correspondant de l'AFP.
Au moins treize manifestants ont été tués jeudi dans le sud de l'Irak, après l'incendie du consulat du grand voisin iranien dans la ville sainte chiite de Najaf qui marque une escalade dans le mouvement inédit de contestation du pouvoir.
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