Retrouvez l'actualité sur Idleb avec Tendance Ouest | Page 8
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe régime de Bachar al-Assad a annoncé lundi contrôler "totalement" Damas et ses environs pour la première fois depuis 2012, après avoir chassé les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) de leur dernier réduit dans la capitale syrienne.
Au moins 26 combattants, en "majorité" des Iraniens, ont été tués en Syrie dans des tirs de missiles sur des positions militaires du régime, une ONG pointant du doigt Israël qui refuse tout ancrage de Téhéran chez son voisin en guerre.
Les médias d'Etat syriens ont annoncé dimanche un accord d'évacuation dans le camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk, situé dans le sud de Damas et où des jihadistes du groupe Etat islamique (EI) sont présents.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa communauté internationale réunie à Bruxelles, qui devait mobiliser mercredi plusieurs milliards d'euros en faveur des millions de déplacés et réfugiés syriens, a exhorté la Russie et l'Iran à faire pression sur Damas pour négocier la fin d'une guerre entrée dans sa huitième année.
Des rebelles ont commencé samedi à quitter des communes situées au nord-est de Damas, dans le cadre d'un accord conclu entre le régime et les insurgés locaux, ont annoncé les médias d'Etat syriens.
La chute de la Ghouta orientale, aux portes de Damas, ouvre la voie à un redéploiement des ressources militaires du régime syrien qui pourrait maintenant prendre pour cible la province méridionale de Deraa, un des derniers foyers de la rébellion.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes Occidentaux continuaient vendredi d'étudier leurs options militaires pour punir le régime syrien qu'ils accusent d'avoir perpétré l'attaque chimique présumée de Douma, soucieux d'éviter une escalade avec la Russie, alliée de Bachar al-Assad.
Les Occidentaux continuent d'étudier leurs options militaires pour punir le régime syrien qu'ils accusent d'avoir perpétré l'attaque chimique présumée de Douma, soucieux d'éviter une escalade avec la Russie qui brandit la menace d'une "guerre" en cas de frappes.
L'aviation du régime syrien a bombardé dimanche pour le troisième jour consécutif la dernière poche rebelle près de Damas, où des dizaines de civils ont péri en 48 heures dans les raids y compris une attaque chimique présumée dénoncée par les Etats-Unis.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousHuit civils ont été tués samedi dans des raids aériens contre l'ultime poche insurgée dans la Ghouta orientale, le régime syrien relançant son offensive meurtrière après l'échec de négociations pour évacuer les derniers combattants rebelles de cette région aux portes de Damas.
Les présidents russe, iranien et turc se sont engagés mercredi lors d'un sommet à Ankara à coopérer en vue de parvenir à un "cessez-le-feu durable" en Syrie, où les trois pays se sont imposés en maîtres du jeu.
Avec la perte probable de leur dernier bastion aux portes de Damas, les rebelles syriens essuient dans la Ghouta orientale leur pire défaite. Affaiblis face au régime, ils se retrouvent à la merci des autres acteurs du conflit pour assurer leur survie.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLes évacuations de rebelles et de civils de la Ghouta orientale se poursuivent, dans le cadre d'une initiative parrainée par la Russie qui doit permettre au pouvoir syrien de reprendre le contrôle total de cette région proche de Damas.
Des bus sont entrés mardi dans l'ultime bastion rebelle aux portes de Damas pour préparer de nouvelles évacuations, une initiative parrainée par Moscou qui doit permettre au régime syrien de reprendre le contrôle total de la Ghouta orientale.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous