Retrouvez l'actualité sur hillary clinton avec Tendance Ouest | Page 3
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe série noire des colis suspects visant des personnalités anti-Trump continuait vendredi: un sénateur démocrate et un ex-patron des renseignements font désormais partie des cibles alors que l'enquête n'a débouché sur aucune arrestation à ce stade, alimentant la tension à l'approche des législatives du 6 novembre.
La police américaine a lancé une vaste chasse à l'homme pour retrouver le ou les responsables de l'envoi de dix colis suspects à des personnalités anti-Trump, mais le mystère restait entier jeudi sur leur identité, dans un dossier qui a considérablement tendu le climat à l'approche des législatives américaines.
La police américaine a engagé une vaste chasse à l'homme pour retrouver le ou les auteurs des 10 colis suspects envoyés à des personnalités anti-Trump, mais le mystère restait entier jeudi sur leur identité, dans un dossier qui a considérablement tendu le climat à l'approche des législatives américaines.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDix colis suspects et deux nouvelles cibles, l'acteur Robert De Niro et l'ancien vice-président Joe Biden: la liste des personnalités hostiles à Donald Trump visées par des bombes artisanales s'allongeait jeudi, tandis que le président américain accusait les médias d'être en "grande partie" responsables de la "colère" dans la société américaine.
L'acteur Robert De Niro et l'ancien vice-président démocrate Joe Biden ont été visés à leur tour dans la série de colis suspects adressés à des personnalités hostiles à Donald Trump, qui a accusé jeudi les médias d'être en "grande partie" responsables de la "colère" dans la société américaine.
L'acteur Robert de Niro et l'ancien vice-président démocrate Joe Biden ont été visés à leur tour par la série de colis suspects adressés à des personnalités hostiles au président Donald Trump, qui a accusé jeudi les médias d'être en "grande partie" responsables de la "colère" dans la société américaine.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe FBI américain a lancé une enquête de grande envergure pour tenter de comprendre qui est derrière l'envoi de colis explosifs à l'ancien président Barack Obama, Hillary Clinton, d'autres députés démocrates, un homme d'affaires opposé à Donald Trump, ainsi qu'à la chaîne de télévision CNN, une des bêtes noires de l'actuel président.
Des bombes artisanales adressées à Barack Obama, Hillary Clinton, CNN et d'autres détracteurs de Donald Trump: en pleine campagne pour les législatives, la polarisation politique américaine a pris un tour dramatique mercredi, Donald Trump appelant au rassemblement tandis que des démocrates l'accusaient d'attiser la violence.
Des bombes artisanales adressées à Hillary Clinton, Barack Obama, CNN et d'autres détracteurs de Donald Trump: en pleine campagne pour les législatives, la polarisation politique américaine a pris un tour violent mercredi, poussant le président américain et d'autres responsables à appeler au "rassemblement".
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe président des Etats-Unis Donald Trump a lancé mercredi un appel à l'unité après l'interception de colis suspects adressés à Hillary Clinton et à Barack Obama, jugeant que la "violence politique" n'était pas tolérable aux Etats-Unis.
Le chef républicain du Sénat américain a dénoncé mercredi des "actes de terrorisme intérieur" après l'envoi de colis potentiellement explosifs à l'ex-président démocrate Barack Obama, l'ancienne secrétaire d'Etat et candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton ainsi qu'à la chaîne CNN.
Colis potentiellement explosifs visant Hillary Clinton, Barack Obama et la chaîne CNN, à couteaux tirés avec l'administration Trump: à 13 jours des élections législatives américaines, la tension est montée d'un cran dans un climat politique plus que jamais polarisé.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousAprès les menaces, l'administration américaine a annoncé mercredi qu'elle allait passer à l'acte en se penchant sur des soupçons de partialité pesant sur les géants internet Twitter, Facebook ou encore Google, accusés par Donald Trump de bâillonner les voix conservatrices.
Le patron de Twitter, Jack Dorsey, a admis mercredi que son service de micro-messages n'était pas "préparé" pour faire face aux manipulations qui ont affecté les réseaux sociaux ces dernières années, notamment lors de la campagne présidentielle américaine de 2016.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous