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Contactez-nousRien ne semble pouvoir arrêter la contestation des Irakiens. Ils manifestent et bloquent de nouveau samedi des routes à Bagdad et dans le Sud, malgré l'intention du Premier ministre de démissionner et les centaines de morts dans les violences.
Rien ne semble pouvoir arrêter la contestation des Irakiens. Ils sont de nouveau dans la rue samedi et bloquent des routes à Bagdad et dans le Sud, malgré l'intention du Premier ministre de démissionner et les centaines de morts dans les violences.
Des centaines d'Irakiens manifestent samedi à Bagdad sous les gaz lacrymogènes, au lendemain d'une journée de violences meurtrières contre des QG de partis et de groupes armés et peu avant une réunion du Parlement conspué dans la rue.
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Contactez-nousDes milliers de manifestants se massent vendredi aux portes de la Zone verte à Bagdad, reprenant un mouvement de contestation antigouvernemental endeuillé début octobre par plus de 150 morts.
Le bras de fer entre manifestants et forces de sécurité se durcit vendredi en Irak au quatrième jour d'un mouvement de contestation, les premiers réclamant "un changement de régime" et des emplois, les seconds tirant à balles réelles sur la foule.
Les forces de sécurité irakiennes ont tiré vendredi sur des dizaines de manifestants dans le centre de Bagdad, au 4e jour d'un mouvement de contestation qui a fait 33 morts à travers le pays, selon des journalistes de l'AFP.
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Contactez-nousL'Irak a vécu jeudi sa journée la plus sanglante depuis le début mardi de manifestations au cours desquelles 30 personnes ont été tuées avec des affrontements d'une violence inédite entre protestataires et forces de sécurité.
Le Parlement irakien tient samedi une réunion de crise avec le gouvernement, à la fin d'une semaine meurtrière à Bassora, ville pétrolière où 12 personnes sont mortes dans des manifestations dénonçant l'incurie des politiques face au marasme social.
Des centaines d'Irakiens ont incendié vendredi le consulat iranien à Bassora, lors d'une nouvelle soirée de manifestations dans cette ville pétrolière où neuf manifestants ont été tués cette semaine et de nombreux sièges d'institutions publiques et de partis incendiés.
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Contactez-nousDe Bagdad à Kirkouk, de l'ouest sunnite aux confins du sud chiite, pour beaucoup d'Irakiens, les législatives de samedi doivent signer la fin des "requins de la corruption" et l'entrée de nouveaux visages dans une classe politique inchangée depuis quinze ans.
Les premières législatives en Irak depuis la victoire sur le groupe Etat islamique (EI) se tiennent samedi dans un contexte inédit: les chiites sont divisés mais donnés gagnant, les Kurdes risquent de perdre leur rôle pivot et les sunnites sont marginalisés.
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