Retrouvez l'actualité sur hadi al-ameri avec Tendance Ouest
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Contactez-nousLe sort du Premier ministre irakien Adel Abdel Mahdi est mercredi entre les mains de ses partenaires au Parlement, qui négocient sa démission alors que la rue réclame toujours la "chute du régime" après 240 morts dans des manifestations et violences.
Les deux principaux partenaires du Premier ministre irakien Adel Abdel Mahdi se sont entendus dans la nuit de mardi à mercredi pour lui retirer leur soutien alors que la contestation ne cesse d'enfler dans la rue.
Après des décennies de conflits sur son sol, l'Irak se trouve désormais pris au milieu des tirs croisés des Etats-Unis et de l'Iran, dont l'animosité croissante fait l'affaire de pays tiers favorables à une confrontation, estiment des experts.
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Contactez-nousLe Parlement irakien tient samedi une réunion de crise avec le gouvernement, à la fin d'une semaine meurtrière à Bassora, ville pétrolière où 12 personnes sont mortes dans des manifestations dénonçant l'incurie des politiques face au marasme social.
Des centaines d'Irakiens ont incendié vendredi le consulat iranien à Bassora, lors d'une nouvelle soirée de manifestations dans cette ville pétrolière où neuf manifestants ont été tués cette semaine et de nombreux sièges d'institutions publiques et de partis incendiés.
Trois obus se sont abattus tôt vendredi sur la Zone verte où siègent les autorités à Bagdad, alors qu'un couvre-feu était imposé à Bassora, province pétrolière du sud, après la mort d'un nouveau manifestant et l'incendie de bâtiments publics et de sièges de partis.
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Contactez-nousLes tractations politiques se poursuivent mercredi en Irak, où l'Iran voisin tente de renforcer son influence en limitant le futur rôle de Moqtada Sadr, le vainqueur des législatives qui s'est récemment rapproché de l'Arabie saoudite, grand ennemi de Téhéran.
Les Irakiens votaient samedi pour décider si le Premier ministre Haider al-Abadi, parvenu en 2014 à son poste grâce un accord tacite entre les Etats-Unis et l'Iran, resterait aux manettes après l'avoir emporté sur les jihadistes, qui menaçaient l'existence du pays.
Près de 24,5 millions d'Irakiens élisaient samedi un nouveau Parlement et beaucoup affichaient leur désir de changement de leur élite politique pour remettre sur pied le pays en lambeaux après trois ans de guerre contre le groupe Etat islamique (EI).
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Contactez-nousPrès de 24,5 millions d'Irakiens sont appelés à élire samedi un nouveau Parlement, dont la tâche principale sera de superviser la reconstruction d'un pays en lambeaux après trois ans de guerre contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI).
Le Premier ministre sortant, son prédécesseur écarté il y a quatre ans et, en embuscade, le chef des paramilitaires ayant vaincu les jihadistes sont les favoris des premières élections irakiennes après la victoire sur le groupe Etat islamique (EI).
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