Retrouvez l'actualité sur guillaume larrivé avec Tendance Ouest | Page 3
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Contactez-nousLa droite a mis lundi la pression sur le ministre Gérald Darmanin (ex-LR) pour qu'il démissionne, après l'enquête préliminaire suite à une accusation de viol le visant, tandis que la majorité continue d'appeler au respect de la présomption d'innocence.
Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a lancé samedi depuis La Rochelle la "grande concertation" sur la police de sécurité du quotidien (PSQ), "police sur-mesure", l'un des grands chantiers sécuritaires d'Emmanuel Macron, dont les premières expérimentations sont annoncées en janvier 2018.
Deux jours après l'attaque au couteau de Marseille, l'Assemblée va approuver largement mardi le projet de loi antiterroriste, l'"équilibre" défendu par la majorité restant pris entre deux feux critiques, "insuffisance" pour LR et FN, "état d'urgence permanent" pour la gauche de la gauche.
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Contactez-nousLe projet de loi antiterroriste a entamé lundi son passage devant l'Assemblée, les nettes divergences de vue ne tardant pas à apparaître entre la majorité et ceux qui à droite, veulent le durcir et ceux qui, à gauche, dénoncent un "état d'urgence permanent".
Les députés reprennent la main cette semaine en commission sur le controversé projet de loi antiterroriste destiné à remplacer, au 1er novembre, le régime exceptionnel de l'état d'urgence en adaptant dans le droit commun certaines de ses mesures, que l'exécutif veut encore étoffer.
Quelle droite, et dirigée par qui ? A La Baule, plusieurs ténors Républicains, dont Valérie Pécresse et Bruno Retailleau, possible candidat, débattaient samedi de l'avenir de LR après le lancement de campagne de Laurent Wauquiez, favori pour l'élection à la présidence du parti en décembre.
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Contactez-nousThierry Solère, Bruno Le Maire, Edouard Philippe et d'autres: le sort de plusieurs figures des Républicains doit être tranché mardi par un bureau politique, qui pourrait les sanctionner voire les exclure pour leur ralliement à Emmanuel Macron ou leur proximité affichée avec la nouvelle majorité.
"Faute politique", "humiliation", "il n'y a plus de Premier ministre", "franchissement de seuil" : l'opposition jugeait sévèrement jeudi la décision d'Emmanuel Macron de s'exprimer lundi devant le Parlement réuni en Congrès à Versailles, à la veille de la déclaration générale d'Edouard Philippe à l'Assemblée.
Les députés ont largement voté dans la nuit de mardi à mercredi une cinquième prolongation de l'état d'urgence jusqu'au 15 juillet, au motif d'une menace terroriste aiguë en période électorale, mais plusieurs ont appelé à préparer la sortie de ce régime.
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Contactez-nousUne salve de critiques politiques, notamment à droite, a visé dimanche Ségolène Royal, qui représentait la France aux funérailles de Fidel Castro, après ses propos défendant le bilan de l'ex-président cubain et rejetant les accusations de violations des droits de l'Homme.
François Fillon, nouveau champion de la droite, a rebattu mardi les cartes aux Républicains, en faisant la part belle à ses proches mais sans oublier, au nom du "rassemblement", les autres sensibilités du parti, de NKM à Jean-François Copé.
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