Retrouvez l'actualité sur génétique avec Tendance Ouest
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Contactez-nousLe premier bébé conçu grâce à une nouvelle technique expérimentale controversée consistant à utiliser l'ADN de deux femmes dans l'embryon pour éviter la transmission d'une maladie héréditaire maternelle, est né en avril, a annoncé mardi l'American Society for Reproductive Medicine (ASRM) suscitant des réactions mitigées.
Une protéine fabriquée par le minuscule tardigrade, probablement l'animal le plus indestructible de la planète, pourrait protéger l'ADN humain des rayons X, selon des chercheurs japonais.
Les chiots qui s'ébrouent dans un enclos de l'ouest de Séoul coûtent 100.000 dollars chacun. Ce n'est pas donné mais au moins, les futurs maîtres savent exactement ce qu'ils achètent.
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Contactez-nousLa naissance de Dolly, la brebis clonée, le 5 juillet 1996, a laissé espérer des avancées majeures en matière de santé, comme la fabrication d'organes en laboratoire. Mais le miracle n'a pas eu lieu, notamment à cause des craintes de dérives.
Des chercheurs américains ont dévoilé jeudi un projet visant à créer un génome humain synthétique qui pourrait révolutionner la biotechnologie mais suscite des inquiétudes sur le plan éthique.
Les cultures OGM ne présentent apparemment pas plus de risques environnementaux et pour la santé que les récoltes conventionnelles, conclut mardi un épais rapport de l'Académie américaine des sciences sur ce sujet controversé, notamment en Europe.
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Contactez-nousEn France, près de 30 000 personnes sont atteintes par une pathologie rare. Pour améliorer leur diagnostic, le CHU de Rouen s'est doté d'un nouvel outil "révolutionnaire".
Prix et honneurs pleuvent sur sa tête bien faite depuis sa mise au point d'un outil "révolutionnaire" de modification des gènes. A 47 ans, la microbiologiste Emmanuelle Charpentier vit son travail de chercheuse comme une "mission" et rêve déjà à d'autres découvertes.
Des scientifiques ont été autorisés à manipuler, pour la première fois au Royaume-Uni, des embryons humains à des fins de recherche, a annoncé l'autorité britannique de la fertilisation humaine et de l'embryologie, la HFEA.
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Contactez-nousLes allergies dont souffre l'homme moderne proviendraient de gènes hérités des Néandertaliens et Dénisoviens, des cousins éteints des humains, à la suite de croisements avec ces espèces il y a environ 40.000 ans, révèlent jeudi deux études.
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