Retrouvez l'actualité sur gaz toxiques avec Tendance Ouest | Page 2
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Contactez-nousLe Conseil de sécurité des Nations unies s'installe samedi, le temps d'un week-end, dans la campagne suédoise, une première qui intervient dans un contexte exécrable entre Occidentaux et Russes sur fond de conflit syrien.
L'enquête sur une attaque présumée chimique en Syrie se trouvait au point mort mercredi, une équipe d'experts internationaux ne pouvant se rendre sur place pour des raisons de sécurité après qu'une mission de reconnaissance a été la cible de tirs.
Une équipe de sécurité de l'ONU a essuyé des tirs mardi dans la ville syrienne de Douma alors qu'elle effectuait une mission de reconnaissance pour préparer le déploiement d'experts chargés d'enquêter sur une attaque chimique présumée, a rapporté mercredi un responsable de l'ONU.
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Contactez-nousUne équipe de l'Organisation internationale pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) est arrivée mardi dans la ville syrienne de Douma pour enquêter sur une attaque chimique présumée, les Occidentaux émettant des doutes sur la possibilité de trouver encore des preuves sur place.
Une équipe internationale d'experts doit débuter dimanche son enquête sur le site l'attaque chimique présumée en Syrie qui a provoqué des frappes américaines, françaises et britanniques d'une ampleur inédite contre le régime de Bachar al-Assad.
Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ont lancé samedi des frappes ciblées en Syrie pour punir le régime de Bachar al-Assad accusé par Donald Trump d'avoir mené des attaques chimiques "monstrueuses".
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Contactez-nousLe régime syrien était confronté mardi à la menace d'une riposte militaire occidentale, le président américain Donald Trump s'engageant à répondre "avec force" et de manière imminente à une attaque chimique présumée qui a déclenché un tollé international.
Le président américain Donald Trump a promis lundi des "décisions majeures" sur la Syrie sous 48 heures, accentuant la pression sur le pouvoir de Bachar a-Assad après une attaque chimique présumée contre une ville rebelle qui a provoqué un tollé international.
Des missiles ont frappé tôt lundi un aéroport militaire syrien, tuant des combattants prorégime, mais les Etats-Unis et la France ont démenti en être à l'origine pour punir le régime après une attaque chimique présumée sur une ville rebelle.
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Contactez-nousAu moins 14 combattants, dont des Iraniens, ont été tués dans la frappe qui a visé tôt lundi une base militaire du régime dans le centre de la Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
L'aviation du régime syrien a bombardé dimanche pour le troisième jour consécutif la dernière poche rebelle près de Damas, où des dizaines de civils ont péri en 48 heures dans les raids y compris une attaque chimique présumée dénoncée par les Etats-Unis.
Les experts ont fragilisé la thèse de l'accident, défendue par l'inventeur danois Peter Madsen pour expliquer la mort de la journaliste suédoise Kim Wall, en affirmant jeudi que la jeune femme était "probablement" morte à la suite d'un égorgement ou d'un étouffement.
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Contactez-nousLe procès de l'inventeur danois Peter Madsen, jugé pour le meurtre présumé de la journaliste suédoise Kim Wall, reprend mercredi à Copenhague avec la poursuite de son interrogatoire, suivi des dépositions d'experts qui doutent de la thèse accidentelle.
Le régime syrien a poursuivi mardi ses frappes aériennes contre la partie rebelle de la Ghouta orientale, tuant neuf civils, et ses forces ont continué leur percée rapide dans la partie rurale de l'enclave assiégée.
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