Retrouvez l'actualité sur françois bayrou avec Tendance Ouest | Page 3
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Contactez-nousNathalie Loiseau (Affaires européennes), Benjamin Griveaux (porte-parole du gouvernement) et Mounir Mahjoubi (Numérique) quittent le gouvernement, a annoncé l'Élysée mercredi, tous trois pour mener des batailles électorales.
Français "méprisés" pour Marine Le Pen, inégalités portées à "incandescence" pour Olivier Faure, "impôt universel" pour Jean-Luc Mélenchon ou baisse des prélèvements pour Laurent Wauquiez: la question fiscale a planté le décor du débat entre les chefs de partis mercredi soir sur BFMTV, sur fond de crise des "gilets jaunes" et de violences dans les rues.
A peine évoquée, déjà enterrée. Matignon a fermé la porte dimanche à la proposition de la ministre Jacqueline Gourault de faire payer l'impôt sur le revenu à tous les Français, y compris les plus modestes, une idée vivement critiquée par l'ensemble de l'opposition.
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Contactez-nous"Incompréhensibles et injustes": Édouard Philippe à l'unisson de la majorité a fustigé jeudi les conclusions de l'enquête du Sénat sur l'affaire Benalla qui embarrasse l'exécutif, dénonçant un non respect de la séparation des pouvoirs et un rapport "très politique".
La popularité d'Emmanuel Macron a perdu un point à 30% en janvier, une variation contenue dans la marge d'erreur, alors que celle de son Premier ministre demeure à 31%, selon un sondage Opinionway pour LCI publié dimanche.
Au lendemain d'un neuvième samedi de manifestations des "gilets jaunes" marqué par un regain de mobilisation, l'exécutif va avancer ses pions avec la publication lundi d'une lettre d'Emmanuel Macron, incitant les Français à participer au grand débat lancé mardi.
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Contactez-nousChantal Jouanno exclut de démissionner de la présidence de la Commission nationale du débat public (CNDP), tout en annonçant que la contribution de la CNDP au grand débat national s'arrêtera le 15 janvier, date du lancement de la consultation.
Après les annonces, place au service après-vente: l'exécutif tente mardi de convaincre que les mesures sociales déclinées la veille par Emmanuel Macron répondent aux demandes des "gilets jaunes", nombreux à se déclarer déçus et à vouloir poursuivre leur mobilisation.
L'exécutif a engagé lundi une course contre la montre pour tenter, par ses initiatives, d'apaiser la crise sociale et politique des "gilets jaunes", et éviter la répétition des violences de plus en plus graves qu'elle a déchaînées.
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Contactez-nousEmpêtré dans la crise des "gilets jaunes", l'exécutif lance lundi une grande consultation politique après les graves éruptions de violence du week-end, qui donnent lieu à de premières comparutions judiciaires parmi les nombreux interpellés, notamment à Paris.
Les appels pressants lancés à l'exécutif pour qu'il fasse un geste se multiplient vendredi, avant une rencontre prévue à 14H00 à Matignon entre Édouard Philippe et une délégation de "gilets jaunes" aux contours incertains.
"À un moment on ne peut pas gouverner contre le peuple" et il ne faut pas "ajouter des charges aux charges" des Français, a averti vendredi François Bayrou face à la fermeté du gouvernement envers les "gilets jaunes".
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Contactez-nousEmmanuel Macron a écarté tout "recul" alors qu'Edouard Philippe doit recevoir des "gilets jaunes" vendredi, à la veille de l'acte III de cette mobilisation moins visible dans la rue mais de plus en plus populaire.
Les 35 membres du gouvernement remanié sont prévenus: Emmanuel Macron leur a détaillé mercredi la longue liste des réformes qu'il veut continuer à mettre en oeuvre, en les avertissant que leur tâche n'avait "rien d'aisé".
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