Retrouvez l'actualité sur faible mobilisation avec Tendance Ouest
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Contactez-nousLe mouvement des "gilets jaunes" a faiblement mobilisé samedi en France pour l'acte 31, avec toutefois près d'un millier de "gilets jaunes" à Paris et à Toulouse où le cortège a été dispersé par les forces de l'ordre quelques minutes après son départ.
Seuls 25 gilets jaunes se sont rassemblés comme prévu ce samedi 15 juin 2019 au rond-point Mercedes de Mondeville près de Caen (Calvados). Certains ont bloqué la circulation et six ont été interpellés par la police.
Des cortèges clairsemés et des manifestants souvent désabusés: plus de six mois après le début du mouvement, seuls quelque milliers de "gilets jaunes" ont répondu présents samedi pour une nouvelle journée de mobilisation.
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Contactez-nousQuelque milliers de "gilets jaunes" manifestent dans le calme en France samedi pour la 29e journée de mobilisation depuis le début du mouvement, qui semble clairement marquer le pas.
La mobilisation des Gilets jaunes était au plus bas en Seine-Maritime, samedi 25 mai 2019 pour l'acte XXVIII du mouvement. Une centaine de manifestants ont défilé dans les rues de Rouen autour du périmètre interdit. Environ autant au Havre. En matinée, quelques dizaines ont rejoint dans le calme à une marche pour le climat, qui a rassemblé environ 350 personnes à Rouen.
Le noyau dur des "gilets jaunes" a manifesté samedi pour le 27e samedi consécutif, le gouvernement annonçant la plus faible mobilisation depuis le début du mouvement il y a six mois, à une semaine des élections européennes.
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Contactez-nousEnviron 250 personnes ont manifesté à Rouen et 150 au Havre selon la préfecture de Seine-Maritime, samedi 18 mai 2019 pour l'acte XXVII des Gilets jaunes. Quelques dizaines étaient aussi présentes sur les ronds-points habituels du côté de Dieppe. À Rouen, quatre personnes ont été interpellées dans l'après-midi : deux pour des jets de projectiles vers les forces de l'ordre et deux pour avoir dissimulé leur visage.
L'appel national à Paris a-t-il été entendu ? Toujours est-il que la mobilisation des gilets jaunes a été modeste à Rouen pour l'acte XXIII, samedi 20 avril 2019. Ils étaient environ 300 au plus fort de la manifestation à défiler dans les rues du centre-ville, autour du périmètre interdit. Aucun heurt à déplorer. Les manifestants se sont dispersés dans le calme en fin d'après-midi. Six personnes ont été verbalisées pour être entrées dans le périmètre interdit dans le centre-ville de Rouen. Elles écopent de contravention de quatrième classe d'une somme de 135 euros.
Demande de baisses d'impôts et de justice fiscale, mais aussi d'écologie et de santé: Edouard Philippe tire lundi le bilan des centaines de milliers de propositions citoyennes issues des deux mois de grand débat national lancé face à la crise des "gilets jaunes".
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Contactez-nousPlus de deux mois de consultation, des centaines de milliers de propositions citoyennes, parfois contradictoires ou coûteuses: Edouard Philippe tire lundi le bilan du grand débat lancé face à la crise des "gilets jaunes", en attendant les premières décisions concrètes d'Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron a-t-il baissé la garde trop tôt ? La sortie du "grand débat" lancé en réponse à la crise des "gilets jaunes" s'annonce plus que jamais délicate pour l'exécutif, de nouveau sous la pression des violences de rue et des critiques de l'opposition.
L'appel à manifester à Paris a sans doute été entendu. Moins de 500 gilets jaunes ont manifesté dans les rues de Rouen (Seine-Maritime), samedi 16 mars 2019 dans l'après-midi, selon la préfecture. C'est la mobilisation la plus faible depuis le début du mouvement. Une manifestation qui a aussi été plus calme qu'à l'accoutumée. Trois personnes ont tout de même été interpellées. Quelques dizaines de Gilets jaunes ont aussi participé à la marche pour le climat dans la matinée.
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Contactez-nous"J'ai remis mon gilet jaune dans la boîte à gants", dit Yves Garrec. Quatre mois plus tard, de nombreux manifestants qui s'étaient engagés pour défendre leur pouvoir d'achat ont fini par raccrocher leur gilet parce qu'ils "ne se retrouvent plus dans le mouvement".
"C'est calme quand même": au surlendemain de la deuxième opération d'expulsions à Notre-Dame-des Landes, "le retour sur la ZAD" n'a mobilisé dimanche que quelques centaines de personnes, qui peinaient à occulter un essouflement et des divisions au sein du mouvement.
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