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Contactez-nousPlus de 400.000 personnes ont été déplacées en trois mois de bombardements du régime syrien et de ses alliés contre une région dominée par les jihadistes dans le nord-ouest de la Syrie, l'ONU dénonçant "l'indifférence" de la communauté internationale face à cette escalade.
Plus de 400.000 personnes ont été déplacées en près de trois mois de violences dans le nord-ouest de la Syrie, où la province d'Idleb et ses environs dominés par les jihadistes sont la cible de bombardements du régime et de son allié russe, a annoncé vendredi l'ONU.
Au moins 43 personnes ont été tuées lundi en Syrie dans des raids aériens sur la province d'Idleb, l'écrasante majorité dans des frappes contre un marché imputées à Moscou, le régime pilonnant depuis trois mois avec son allié russe cette région du nord-ouest.
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Contactez-nousAu moins dix civils ont été tués vendredi dans des raids du régime de Bachar al-Assad dans le nord-ouest de la Syrie, dont trois dans la ville d'Idleb, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Plus de 100 combattants ont été tués depuis mercredi soir dans des affrontements féroces entre les troupes du régime et des forces dominées par des jihadistes dans le nord-ouest de la Syrie, a rapporté jeudi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
La Turquie a affirmé lundi ne pas être intimidée par les menaces de Donald Trump de "dévaster" l'économie turque en cas d'attaque d'Ankara contre les milices kurdes soutenues par Washington en Syrie après le retrait américain prévu de ce pays.
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Contactez-nousLe groupe Etat islamique (EI) a libéré six des otages druzes de la province de Soueida kidnappés fin juillet, en échange d'une rançon et de prisonnières de l'EI détenues par le régime syrien, mais une vingtaine de femmes et d'enfants restent aux mains des jihadistes.
Les rebelles et jihadistes ont retiré la plupart de leurs armes lourdes de la future "zone démilitarisée" de la province syrienne d'Idleb (nord-ouest), à la veille de la date-butoir prévue par l'accord russo-turc sur ce dernier bastion insurgé.
Les bombardements du régime syrien se sont poursuivis mercredi contre l'ultime bastion insurgé de Syrie, dans la province d'Idleb, en vue d'une offensive soutenue par la Russie qui fait planer la menace d'un "bain de sang", selon le patron de l'ONU Antonio Guterres.
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Contactez-nousDernier grand bastion insurgé en Syrie, la province d'Idleb --trois millions d'habitants et plusieurs dizaines de milliers de combattants, jihadistes en majorité--, attend son sort au lendemain de l'échec d'un sommet à Téhéran, faisant craindre une nouvelle catastrophe humanitaire.
Les présidents d'Iran, de Russie et de Turquie se retrouvent en sommet vendredi à Téhéran pour décider du sort de la province d'Idleb, ultime grand bastion jihadiste et rebelle de Syrie où la communauté internationale redoute un désastre humanitaire imminent.
Craignant un assaut imminent du régime, des centaines de civils ont commencé à fuir la province d'Idleb, à la veille de négociations tripartites cruciales en Iran, censées sceller le sort de cet ultime grand bastion jihadiste et rebelle dans la Syrie en guerre.
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Contactez-nous"Massacre", "bain de sang" et menaces américaines. Les mises en garde se sont multipliées contre la perspective d'un assaut du régime contre Idleb, dernier grand bastion rebelle et jihadiste en Syrie, à deux jours d'un sommet décisif à Téhéran.
"Massacre", "bain de sang" et menaces américaines. Les mises en garde se sont multipliées contre la perspective d'un assaut du régime contre Idleb, dernier grand bastion rebelle et jihadiste en Syrie, à deux jours d'un sommet décisif à Téhéran.
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