Retrouvez l'actualité sur fabienne keller avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousPascal Canfin a annoncé mardi avoir accepté d'être le N.2 de la liste de La République en marche (LREM) pour les élections européennes qui sera conduite par la ministre Nathalie Loiseau, dont le départ du gouvernement semble imminent.
Le départ lundi du gouvernement de Nathalie Loiseau pour mener la liste de La République en marche (LREM) donne un coup d'accélérateur à la campagne des européennes, dont les principaux protagonistes sont désormais connus.
Emmanuel Macron a promis mardi des actes "forts, clairs" mais aussi de légiférer contre l'antisémitisme, visitant le cimetière de Quatzenheim (Bas-Rhin) où 96 tombes ont été découvertes profanées le jour-même où la France se lève pour dire "Ça suffit !" face à la multiplication des actes antisémites.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousCette fois, c'est officiel: le maire de Bordeaux et ancien Premier ministre Alain Juppé n'est plus membre du parti des Républicains, une situation qui conforte son engagement auprès de la majorité en vue des élections européennes.
Une scission avant l'union: les députés Constructifs issus de LR, qui ont annoncé ce week-end la création d'un parti politique pro-Macron, Agir, ont dû faire face à l'annonce concomitante du départ de Thierry Solère, l'un de leurs leaders, pour rejoindre LREM.
Le bureau politique des Républicains, transformé pour l'occasion en conseil de discipline, a finalement choisi mardi de ne pas trancher dans le vif sur le sort des six responsables LR pro-Macron, la décision de leur éventuelle exclusion étant renvoyée à l'automne.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousAprès la nomination à Matignon du juppéiste Edouard Philippe, l'hémorragie d'élus de droite vers le camp macroniste s'amplifie, menaçant l'unité de LR, qui continue de faire le pari difficile d'une victoire aux législatives.
Les Républicains ont validé mardi sans vote leur projet amendé en vue des législatives, affichant leur unité, malgré le souhait de certains d'entre eux de rallier le camp d'Emmanuel Macron, qui est à la recherche d'alliés de droite.
Apparu, Philippe, Béchu, Keller, Boyer… Les juppéistes lancent une offensive anti-Fillon en lâchant les uns après les autres le candidat de la droite à la présidentielle, avec l'espoir de le remplacer par le maire de Bordeaux, à 15 jours de la clôture des parrainages.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousMenacé d'une mise en examen, lâché par une partie de son camp, François Fillon veut tenter une nouvelle fois de se relancer et remobiliser à droite, avec un déplacement à Nîmes jeudi avant un "rassemblement de soutien" dimanche au Trocadéro, à Paris.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous