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Contactez-nousLa présidente bolivienne par intérim, Jeanine Añez, a annoncé dimanche la convocation d'élections "transparentes" "très vite", alors que la situation restait tendue dans le pays, entre un pouvoir qui parle de désescalade et l'ex-président Evo Morales qui évoque des "crimes contre l'humanité".
La présidente par intérim de la Bolivie a haussé le ton vendredi contre Evo Morales, le menaçant de poursuites s'il revenait dans son pays, tandis que les partisans de l'ex-chef de l'Etat, qui s'est exilé au Mexique, maintenaient la pression dans la rue.
La nouvelle présidente bolivienne par intérim, Jeanine Añez, tentait jeudi de pacifier le pays deux jours après son accession au pouvoir à la suite de la démission forcée d'Evo Morales et de son départ vers le Mexique.
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Contactez-nousNomination d'un gouvernement, convocation d'élections : dans une Bolivie encore secouée par des manifestations, la présidente par intérim Jeanine Añez tentait mercredi de combler le vide politique laissé par le départ d'Evo Morales, qui s'est déjà dit prêt à rentrer pour "apaiser" la situation.
Le président Evo Morales a lancé samedi un appel au dialogue aussitôt rejeté par l'opposition, et des incidents se sont poursuivis dans la nuit dans une Bolivie sous haute tension, avec des mutineries d'unités policières et l'occupation de médias d'Etat par des manifestants.
L'interminable dépouillement de la présidentielle se poursuivait dans la nuit de mercredi à jeudi en Bolivie, pays en proie à une grève générale émaillée d'affrontements entre partisans et détracteurs du socialiste Evo Morales qui brigue la réélection.
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