Retrouvez l'actualité sur détenus radicalisés avec Tendance Ouest
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Contactez-nousUne "prison dans la prison" hautement sécurisée en plein coeur de Paris: la maison d'arrêt de la Santé a ouvert un quartier de prise en charge des détenus radicalisés, troisième du genre en France et "totalement étanche" du reste de la détention.
Jeudi 20 juin 2019, un détenu djihadiste de la prison de Saint-Aubin-Routot (près du Havre, en Seine-Maritime) a agressé deux surveillants. Il les a attaqué avec une barre de fer et une arme artisanale.
Des surveillants de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne) ont manifesté et refusé de prendre leur service mercredi pour demander des "réponses concrètes" en termes de sécurité et en soutien à leurs collègues, au lendemain d'une nouvelle prise d'otages de deux d'entre eux par un détenu, dans ce centre pénitentiaire ultra-sécurisé.
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Contactez-nousMercredi matin 12 juin 2019, une cinquantaine de surveillants de l'équipe de jour du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne) refusent de prendre leurs postes, au lendemain de la prise d'otage de deux d'entre eux par un détenu multirécidiviste.
Les deux personnels pénitentiaires qui étaient pris en otage mardi 11 juin 2019 par un détenu au centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe (Orne) ont été libérés après plus de cinq heures d'attente. Ils sont sains et sauf. Le détenu a été placé en garde à vue.
Trois mois après l'attaque de deux surveillants par un détenu radicalisé, une nouvelle prise d'otage était en cours mardi soir au centre pénitentiaire ultra-sécurisé de Condé-Sur-Sarthe (Orne), menée par un "champion de la prise d'otage carcérale", Francis Dorffer, qui a retenu deux surveillants avant d'en libérer un premier peu avant minuit.
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Contactez-nousTrois mois après l'attaque de deux surveillants par un détenu radicalisé, une nouvelle prise d'otage était en cours mardi soir à la prison de Condé-Sur-Sarthe (Orne), menée par un "champion de la prise d'otage carcérale", Francis Dorffer, qui retenait deux surveillants.
Un détenu de Condé-sur-Sarthe retenait en otage deux surveillants mardi en début de soirée (Orne) dans cet établissement où un prisonnier radicalisé avait attaqué deux surveillants début mars, a-t-on appris de sources concordantes.
Michaël Chiolo qui avait agressé par arme deux surveillants du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe près d'Alençon (Orne) début mars 2019, a été mis en examen par un juge antiterroriste parisien.
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Contactez-nousLa Ministre de la Justice, garde des Sceaux, Nicole Belloubet, a été auditionnée par la Commission des lois de l'Assemblée nationale, mardi après-midi 30 avril 2019, suite à l'agression de 2 surveillants pénitentiaires qui avaient été poignardés par un détenu radicalisé et par sa compagne, dans une unité de vie familiale, le 5 mars précédent.
Déception pour le syndicat majoritaire des surveillants FO-pénitentiaire à l'occasion de la visite de la Ministre de la Justice au centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, vendredi 5 avril 2019 : la fouille ne peut pas être écrite dans la loi…
Un mois jour pour jour après que deux surveillants aient été poignardés par un détenu radicalisé et par sa compagne au centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne), la Ministre de la Justice est venue prendre de leurs nouvelles, mais aussi travailler sur l'amélioration des conditions de sécurité.
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Contactez-nousUn mois après que deux surveillants du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe près d'Alençon (Orne) se soient fait poignarder par un détenu radicalisé et par sa compagne, la Ministre de la Justice Nicole Belloubet revient à Condé rencontrer les surveillants.
Après 15 jours de blocus du site par les surveillants, une dizaine de personnes se sont regroupées devant la prison de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon (Orne), vendredi 22 mars 2019 en début d'après-midi, à l'appel du syndicat PRP " pour la protection et le respect des prisonniers ". Des familles de détenus avec leurs enfants et quelques sympathisants, venus de Châteauroux, Rennes, Caen, Nantes et Lyon, se sont réunis devant le centre pénitentiaire. Les familles n'ont pas pu voir les leurs durant le blocus du site durant 15 jours par les surveillants, dont 2 avaient été violemment agressés le 5 mars, par un détenu radicalisé.
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