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Contactez-nousLe parquet a requis trois mois de prison avec sursis contre Jean-Luc Mélenchon pour les incidents ayant émaillé la perquisition d'octobre 2018 au siège de LFI, estimant devant le tribunal de Bobigny que le leader insoumis a mené "un acte de résistance violente avec usage de la force".
Le parquet a requis trois mois de prison avec sursis contre Jean-Luc Mélenchon pour les incidents ayant émaillé la perquisition d'octobre 2018 au siège de LFI, estimant devant le tribunal de Bobigny que le leader insoumis a mené "un acte de résistance violente avec usage de la force".
Au lendemain d'une première longue journée d'audience terminée vers 23H00, le parquet prononce ses réquisitions vendredi au procès de Jean-Luc Mélenchon et cinq de ses proches à Bobigny, jugés pour les incidents ayant émaillé la perquisition d'octobre 2018 au siège de LFI.
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Contactez-nousAu lendemain d'une première longue journée d'audience terminée vers 23H00, le parquet prononce ses réquisitions vendredi au procès de Jean-Luc Mélenchon et cinq autres de ses proches à Bobigny, jugés pour les incidents ayant émaillé la perquisition d'octobre 2018 au siège de LFI.
"Accuser un insoumis de délit de rébellion, c'est une forme de pléonasme", a lancé jeudi à la barre Jean-Luc Mélenchon, jugé avec cinq de ses proches à Bobigny pour rébellion et actes d'intimidation, lors de la perquisition mouvementée au siège de LFI en octobre.
Jean-Luc Mélenchon et ses cinq coprévenus sont arrivés vers 08H30 au tribunal correctionnel de Bobigny où ils doivent comparaitre jusqu'à vendredi pour les incidents ayant émaillé la perquisition au siège de LFI en octobre, ont constaté des journalistes de l'AFP.
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Contactez-nousLe procès de Jean-Luc Mélenchon et cinq de ses proches pour les incidents ayant émaillé la perquisition au siège de LFI en octobre s'ouvre jeudi à Bobigny dans un climat électrique, alimenté par les accusations "d'instrumentalisation" de la justice.
L'enquête préliminaire confiée à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) portant sur l'interpellation le 6 décembre 2018 de 151 jeunes en marge d'une mobilisation lycéenne à Mantes-la-Jolie (Yvelines) a été classée sans suite, a appris l'AFP vendredi.
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