Retrouvez l'actualité sur départ de l'élysée avec Tendance Ouest
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Contactez-nousL'affaire Benalla est "une tempête dans un verre d'eau", avait déclaré Emmanuel Macron fin juillet. Mais, sept mois plus tard, ses vagues successives n'en finissent pas de fragiliser le chef de l'Etat, mettant en cause ses plus proches collaborateurs.
Vincent Crase, ex-employé de LREM et ex-gendarme réserviste en fonction à la présidence de la République, a affirmé lundi au Sénat avoir travaillé pour un oligarque russe une fois parti de l'Élysée, et sans l'aide d'Alexandre Benalla, mis en examen comme lui pour des violences sur des manifestants le 1er mai 2018.
Des scoops pour la reprise des travaux de la commission du Sénat enquêtant sur l'affaire Alexandre Benalla: le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, a révélé mercredi que l'ex-collaborateur de l'Élysée avait utilisé "presque une vingtaine de fois" ses passeports diplomatiques après son licenciement, et l'a soupçonné d'usage de faux.
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Contactez-nousDes scoops pour la reprise des travaux de la commission du Sénat enquêtant sur l'affaire Alexandre Benalla: le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, a révélé mercredi que l'ex-collaborateur de l'Elysée avait utilisé "presque une vingtaine de fois" ses passeports diplomatiques après son licenciement, et l'a soupçonné de faux.
L'ancien chargé de mission de l'Élysée Alexandre Benalla a utilisé "presque une vingtaine de fois" ses passeports diplomatiques depuis son licenciement le 1er août 2018, a affirmé mercredi devant le Sénat Patrick Strzoda, directeur de cabinet de la présidence de la République.
Parole contre parole: la nouvelle controverse autour d'Alexandre Benalla a tourné lundi au bras de fer médiatique entre l'ancien chargé de mission et son ex-employeur, la présidence de la République.
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Contactez-nousLes rebondissements de l'affaire Benalla ont tourné lundi au bras de fer entre l'Elysée et l'ancien conseiller d'Emmanuel Macron, qui affirme avoir continué d'échanger avec le chef de l'Etat après son licenciement en juillet.
L'Élysée a souligné mardi qu'Alexandre Benalla n'était "pas un émissaire officiel ou officieux" de la présidence, après des informations de presse faisant état d'un récent voyage au Tchad de l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron qui aurait pu se prévaloir de ce titre.
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