Retrouvez l'actualité sur décès de naomi musenga avec Tendance Ouest
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Contactez-nousLe procureur de la République de Strasbourg a annoncé mercredi l'ouverture d'une information judiciaire pour "non-assistance à personne en péril" dans l'enquête sur la mort de Naomi Musenga, jeune femme décédée après avoir été raillée par une opératrice du Samu en décembre.
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a indiqué jeudi qu'il n'y aurait pas d'autres sanctions après le départ du responsable du Samu de Strasbourg, à la suite du rapport de l'Igas sur la mort de Naomi Musenga dont l'appel de détresse n'avait pas été pris au sérieux.
Six mois après la mort de Naomi Musenga dont l'appel de détresse avait été raillé par une régulatrice du Samu de Strasbourg, un rapport de l'Igas a pointé une série de dysfonctionnements dans cette affaire qui avait bouleversé la France, entraînant la démission immédiate du responsable du Samu.
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Contactez-nousLes Hôpitaux universitaires de Strasbourg (HUS) ont "accepté" mercredi la démission du responsable du Samu de la ville après la publication d'un rapport pointant de nombreux dysfonctionnements dans la prise en charge de l'appel de Naomi Musenga, décédée fin décembre.
"La procédure générale de régulation" appliquée par le Samu de Strasbourg au moment du décès fin décembre de Naomi Musenga n'était "pas conforme aux recommandations de bonnes pratiques" et "source de risque pour les patients", indique l'Igas dans un rapport publié mercredi.
Après la mort de Naomi Musenga à Strasbourg, le chef du SAMU de Caen (Calvados) revient sur le fonctionnement de la régulation médicale en Normandie. Il traite 460 appels par jour. À Rouen (Seine-Maritime), la moyenne est de 820 appels.
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Contactez-nousDes agents du Samu du Bas-Rhin ont porté plainte après avoir été menacés à la suite du décès de Naomi Musenga, dont l'appel au Samu avait été pris à la légère, a-t-on appris samedi de sources concordantes.
La famille de Naomi Musenga, décédée fin décembre après avoir été raillée par une opératrice téléphonique du Samu, a déposé plainte vendredi contre les hôpitaux universitaires de Strasbourg (HUS), a-t-on appris auprès de ses avocats.
Le parquet de Strasbourg a annoncé mercredi l'ouverture d'une enquête préliminaire dans le cadre du décès en décembre de Naomi Musenga, 22 ans, prise en charge tardivement par les urgences, après avoir d'abord été raillée au téléphone par une opératrice du Samu.
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Contactez-nousL'opératrice du Samu, qui avait raillé en décembre au téléphone une jeune femme décédée quelques heures plus tard à l'hôpital de Strasbourg, a été suspendue mercredi "à titre conservatoire", a indiqué la direction des Hôpitaux universitaires de Strasbourg.
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