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Contactez-nousDes combats particulièrement meurtriers ont fait rage lundi dans la ville portuaire de Hodeida, dans l'ouest du Yémen, alors que Washington, Paris, Londres et l'ONU ont accentué la pression sur les belligérants, dont l'Arabie saoudite, pour que les hostilités cessent rapidement.
Des combats particulièrement meurtriers font rage lundi dans la ville portuaire de Hodeida, dans l'ouest du Yémen, au moment où Washington, Londres et l'ONU font pression sur l'Arabie saoudite pour que la coalition qu'elle commande dans ce pays cesse les hostilités.
Des combats particulièrement meurtriers font rage lundi dans la ville portuaire de Hodeida, dans l'ouest du Yémen, au moment où Washington et Londres accentuent la pression sur l'Arabie saoudite pour que la coalition qu'elle commande dans ce pays cesse rapidement les hostilités.
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Contactez-nousMalgré des mois de contestation et de polémiques, la mesure entre en vigueur dimanche : 400.000 kilomètres de routes sont désormais limitées à 80 km/h, et non plus à 90 km/h, avec l'objectif de réduire le nombre de tués sur les routes.
Un convoi d'aide alimentaire est entré jeudi dans le fief rebelle de la Ghouta, une enclave proche de Damas qui étouffe sous le poids d'un siège et d'une offensive du régime se poursuivant sans relâche, au 7e anniversaire du début du conflit syrien.
Plus de 400 civils, dont une centaine d'enfants, ont été tués depuis dimanche dans l'enclave rebelle de la Ghouta orientale par d'intenses bombardements du régime syrien, tandis que son allié russe a retardé à l'ONU une résolution en faveur d'une trêve humanitaire, qui pourrait être soumise vendredi.
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Contactez-nousPlus de 400 civils, dont une centaine d'enfants, ont été tués depuis dimanche dans l'enclave rebelle de la Ghouta orientale par d'intenses bombardements du régime syrien, protégé par son allié russe à l'ONU où le Conseil de sécurité tente de négocier une trêve.
L'artillerie du régime syrien a intensément bombardé jeudi la Ghouta orientale, faisant fi des appels internationaux à stopper le bain de sang dans ce fief rebelle où 335 civils dont de nombreux enfants ont péri en cinq jours de pilonnage incessant et dévastateur.
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