Retrouvez l'actualité sur cortège syndical avec Tendance Ouest
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousDes manifestations syndicales et "gilets jaunes" sont prévues un peu partout en France pour cette fête du travail qui risque une fois de plus d'être gâchée par des radicaux promettant une "journée d'Apocalypse", que l'exécutif espère éviter avec un sérieux dispositif sécuritaire.
Rouen, désigné comme rendez-vous régional et même national pour l'acte XXI des Gilets jaunes a été le théâtre de tensions et de dégradations, samedi 6 avril 2019. Huit personnes au moins ont été interpellées.
Au lendemain de la manifestation parisienne du 1er mai marquée par des dégradations et des violences, la stratégie policière déployée face aux 1.200 militants radicaux des "black blocs" est critiquée, malgré un très faible nombre de blessés.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLa manifestation parisienne du 1er Mai, éclipsée par les violences de groupes d'ultragauche, a suscité frustrations syndicales - avec des craintes pour le droit de manifester - et polémique politique autour d'éventuelles défaillances policières.
"Les casseurs décrédibilisent tout": la présence d'un grand nombre de "black blocs", qui ont jeté des projectiles sur les forces de l'ordre et causé des dégradations, a fait dérailler le défilé parisien du 1er Mai, qui n'a pas pu se dérouler comme prévu, suscitant de vives critiques politiques.
Des militants d'ultra-gauche avaient promis "une journée en enfer". Dégradations, voitures brûlées, jets de projectiles, manifestants contraints de faire demi-tour: le défilé parisien du 1er mai a rapidement tourné mardi à l'affrontement violent entre "black blocs" et forces de l'ordre.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousLe préfet de police de Paris Michel Delpuech a expliqué mardi soir que les forces de l'ordre "ne pouvaient pas intervenir" pour stopper les violences en marge du défilé du 1er Mai, en raison de la présence de "black blocs" au sein d'un important cortège de militants d'ultra-gauche.
"Les casseurs décrédibilisent tout": la manifestation parisienne du 1er Mai était perturbée par de nombreux militants d'extrême gauche, qui ont causé des dégradations et affrontés les forces de l'ordre, incitant la préfecture de police à demander aux syndicats de changer d'itinéraire.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous