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Contactez-nousLe régime syrien a cessé ses frappes aériennes samedi sur la région d'Idleb, au premier jour d'une trêve annoncée après quatre mois de bombardements dévastateurs sur cette région du nord-ouest du pays en guerre, a indiqué une ONG.
Au moins 43 personnes ont été tuées lundi en Syrie dans des raids aériens sur la province d'Idleb, l'écrasante majorité dans des frappes contre un marché imputées à Moscou, le régime pilonnant depuis trois mois avec son allié russe cette région du nord-ouest.
Plus de 100 combattants ont été tués depuis mercredi soir dans des affrontements féroces entre les troupes du régime et des forces dominées par des jihadistes dans le nord-ouest de la Syrie, a rapporté jeudi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
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Contactez-nousDes bombardements du régime syrien ont tué 14 civils dont sept enfants dans la province d'Idleb, dans le nord-ouest du pays en guerre, a annoncé samedi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Au moins 13 civils ont été tués mercredi dans des raids aériens des forces gouvernementales syriennes visant des territoires jihadistes dans la province d'Idleb, bombardée depuis un mois par le régime de Bachar al-Assad et son allié russe.
Le bilan de l'explosion dimanche d'un dépôt d'armes dans la province d'Idleb en Syrie, a grimpé à 69 morts dont 52 civils, selon un nouveau bilan publié lundi par l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
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Contactez-nousDes milliers de civils ont fui les bombardements du régime syrien sur les zones contrôlées par les rebelles dans le sud du pays en guerre ces derniers jours, sur fond de craintes d'une offensive militaire d'envergure.
Des enquêteurs internationaux ont finalement pu se rendre samedi dans la ville syrienne de Douma et y prélever des échantillons, deux semaines après une attaque chimique présumée à l'origine de frappes militaires occidentales contre le régime syrien.
L'agence officielle syrienne a affirmé que des missiles avaient été interceptés mardi par la défense aérienne dans le pays, trois jours après des frappes occidentales menées en représailles à une attaque chimique présumée qui fait l'objet d'une enquête de l'OIAC dont les enquêteurs sont attendus mercredi à Douma.
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Contactez-nousLes équipes de l'Organisation internationale pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) n'avaient toujours pas pu entrer dans la ville syrienne de Douma pour y enquêter sur l'attaque au gaz présumée du 7 avril, le régime syrien et la Russie évoquant des "problèmes de sécurité".
Une réunion de l'OIAC est prévue lundi, au lendemain du lancement en Syrie de l'enquête de ses experts sur l'attaque chimique présumée qui a entraîné des frappes occidentales contre le régime de Bachar al-Assad et provoqué un vif regain de tensions diplomatiques.
Epuisés par des années de siège et de bombardements du régime syrien, les habitants évacués de Douma, ville rebelle théâtre d'une attaque chimique présumée, demeurent sans illusion après des frappes occidentales contre le pouvoir de Bachar al-Assad.
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Contactez-nousHuit civils ont été tués samedi dans des raids aériens contre l'ultime poche insurgée dans la Ghouta orientale, le régime syrien relançant son offensive meurtrière après l'échec de négociations pour évacuer les derniers combattants rebelles de cette région aux portes de Damas.
La Russie, alliée du régime syrien, et les rebelles acculés dans une ultime enclave dans la Ghouta orientale, aux portes de Damas, sont parvenus à un premier accord pour évacuer des centaines de civils de la ville de Douma.
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