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Contactez-nousOuvriers et pelleteuses étaient à l'oeuvre jeudi matin pour continuer les travaux d'évacuation de la zone sud de la "jungle" de Calais, où certains migrants, dans un spectaculaire signe de protestation, sont allés jusqu'à se coudre la bouche.
"Il faut sortir, ça va démolir": le démantèlement de la partie sud de la "Jungle" de Calais s'est poursuivi mercredi pour la troisième journée consécutive, dans un calme précaire et toujours sous haute sécurité policière.
"Il faut sortir, ça va démolir": Le démantèlement de la partie sud de la "jungle" de Calais s'est poursuivi mercredi et pour la troisième journée consécutive dans le calme mais toujours sous haute sécurité policière.
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Contactez-nousLe démantèlement de la partie sud de la "jungle" de Calais a repris mercredi pour le troisième jour consécutif, dans le calme mais sous haute sécurité policière.
La nuit de mardi à mercredi a été calme et sans violence aux abords de la "jungle" de Calais, dont le démantèlement de la partie sud doit se poursuivre mercredi, a-t-on appris auprès de la préfecture du Pas-de-Calais.
"Une fois que vous aurez tout cassé, on ira où?", demande Amar, incrédule, à l'équipe de services de l'Etat venue à la rencontre d'un groupe de Soudanais qui vivent toujours dans la partie sud de la "jungle", en cours de démantèlement.
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Contactez-nousLes travaux de démantèlement d'une partie de la "jungle" de Calais se poursuivaient dans le calme mardi après les incidents de lundi, mais les maraudes organisées par l'Etat se heurtent parfois au refus des migrants de quitter les lieux.
Le démantèlement de la zone sud de la "jungle" de Calais a repris mardi matin, dans le calme, au lendemain des violences qui ont émaillé le début de l'évacuation de cette partie du campement de migrants, a constaté un journaliste de l'AFP.
La nuit de lundi à mardi a été calme aux abords de la "jungle" de Calais après les violences qui ont émaillé la première journée du démantèlement d'une partie du campement de migrants, a-t-on appris auprès de la préfecture.
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Contactez-nousQuatre jours à peine après une décision de justice validant l'évacuation d'une partie de la "jungle" de Calais, l?État en a entamé lundi le démantèlement, dans un climat tendu qui a dégénéré en heurts avec la police dans l'après-midi, sur fond de colère d'associations.
Quatre jours à peine après une décision de justice validant l'évacuation d'une partie de la "jungle" de Calais, l?État en a entamé lundi le démantèlement, dans un climat tendu qui a dégénéré en heurts avec la police dans l'après-midi, sur fond de colère d'associations.
Quatre jours à peine après une décision de justice validant l'évacuation d'une partie de la "jungle" de Calais, l?État en a entamé lundi le démantèlement, dans un climat parfois tendu.
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Contactez-nousQuatre jours à peine après une décision de justice validant l'évacuation d'une partie de la "jungle" de Calais, l'Etat en a entamé lundi le démantèlement, sous haute protection policière, bien décidé à ne pas laisser les militants les plus radicaux empêcher l'opération.
Les premiers enlèvements des abris vides situés dans la zone sud de la "jungle" de Calais, promise à évacuation à la suite d'une décision de justice, ont débuté lundi sous la protection d'un important dispositif policier, a constaté l'AFP sur place.
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